Actualités - CHRONOLOGIE
TENNIS Wimbledon : Le toit coulissant plus que jamais à l'ordre du jour
le 02 juillet 1999 à 00h00
La question du toit coulissant, véritable serpent de mer des jours de pluie à Wimbledon, était une nouvelle fois à l’ordre du jour, jeudi, l’humidité ambiante n’ayant permis qu’à un seul match de se terminer, alors que le programme prévoyait huit quarts de finale. Le directeur exécutif du tournoi, Christopher Gorringe, avait pourtant écarté mercredi cette éventualité, au lendemain d’une journée de mardi déjà gâchée par la pluie, aucun match n’ayant pu se disputer. «Les fans viennent encore à Wimbledon pour voir les meilleurs joueurs du monde en action en plein air, dans les conditions du jeu en plein air», estimait alors M. Gorringe. «Même si Wimbledon a déjà souffert du mauvais temps, nous avons toujours beaucoup d’options qui nous permettent de terminer dans les temps, ou presque», ajoutait-il, la situation étant alors moins préoccupante que ce jeudi. Un toit coulissant est opérationnel sur le central de Melbourne Park, où se déroulent les Internationaux d’Australie. Ce genre de toit peut coûter jusqu’à 20 millions de livres (30 millions d’euros), mais peut permettre de satisfaire les fans, dont certains payent jusqu’à 60 livres (90 euros) pour une place sur le Central. «Quand il pleut, c’est embêtant pour tout le monde, et nous partageons la frustration des fans, mais mettre un toit coulissant sur le court central, et même sur le N°1, ne permettrait que de jouer un petit nombre de matches, et cela n’aurait pas beaucoup d’effet sur le programme global», ajoutait M. Gorringe. Cette solution aurait pourtant le mérite de préserver une certaine équité sportive en fin de tournoi, quand peu de matches restent à disputer, mais que les résultats peuvent être faussés par de multiples interruptions, et surtout par une accumulation de matches.
La question du toit coulissant, véritable serpent de mer des jours de pluie à Wimbledon, était une nouvelle fois à l’ordre du jour, jeudi, l’humidité ambiante n’ayant permis qu’à un seul match de se terminer, alors que le programme prévoyait huit quarts de finale. Le directeur exécutif du tournoi, Christopher Gorringe, avait pourtant écarté mercredi cette éventualité, au...
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