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Actualités - REPORTAGES

Travaux et projets municipaux (photo)

Nullement découragé par cet amas de problèmes et par les solutions qui tardent à venir, Me Antoine Assaf, président de la municipalité de Beit-Méry et Aïn Saadé, voit l’avenir d’un œil optimiste et confiant. «Nous voulons faire de notre localité la plus belle du pays, déclare-t-il fièrement. Et si nous avons une livre, nous en dépenserons une et demie pour notre région», ajoute-t-il. Armée d’une poignée d’ouvriers et d’employés, la municipalité a pris l’initiative de l’aménagement des égouts de la région. En effet, on creuse dans tout le village de Beit-Méry pour relier la localité au réseau d’égouts. Et pour ce projet, tout l’argent disponible a été utilisé. «La municipalité disposait d’un milliard 200 millions de livres, dont 450 millions ont été dépensés pour divers travaux. Le reste est consacré à l’aménagement des égouts», affirme Me Assaf. D’autres travaux à caractère urgent ont de plus été réalisés par la municipalité, comme l’asphaltage des rues intérieures des villages, la construction de caniveaux et de murs de soutènement, ainsi que l’éclairage des voies publiques, notamment dans la région de Roumieh. Et si parfois les routes des villages ressemblent plutôt à un patchwork, c’est que la municipalité travaille avec les moyens du bord qui sont souvent limités. Très concerné par l’embellissement de la région et par les problèmes d’environnement, le président de la municipalité dénonce les actes criminels consistant à souiller les vallées de Beit-Méry et Monteverde. «Des camions remplis de gravats, de pierres et même de déchets de viande se permettaient de vider leurs détritus au hasard d’une vallée de chez nous. Ceci est aujourd’hui interdit et nous essayons de surveiller la région autant que possible afin d’empêcher ces abus. Malheureusement, nous ne pouvons installer des gardes forestiers en permanence dans les bois, car nous manquons d’effectifs. Nous comptons alors sur la clairvoyance des habitants pour nous prévenir des irrégularités». Homme d’espoir, le président de la municipalité rêve de réaménager les souks de Beit-Méry et de Aïn Saadé, de construire des trottoirs pour les promeneurs et de planter des arbres le long des routes. Il envisage aussi de construire un palais municipal où les jeunes auraient leur bibliothèque, leur espace de jeu et de réunions, et où la Croix-Rouge et la Défense civile auraient chacune un local aménagé.
Nullement découragé par cet amas de problèmes et par les solutions qui tardent à venir, Me Antoine Assaf, président de la municipalité de Beit-Méry et Aïn Saadé, voit l’avenir d’un œil optimiste et confiant. «Nous voulons faire de notre localité la plus belle du pays, déclare-t-il fièrement. Et si nous avons une livre, nous en dépenserons une et demie pour notre région», ajoute-t-il. Armée d’une poignée d’ouvriers et d’employés, la municipalité a pris l’initiative de l’aménagement des égouts de la région. En effet, on creuse dans tout le village de Beit-Méry pour relier la localité au réseau d’égouts. Et pour ce projet, tout l’argent disponible a été utilisé. «La municipalité disposait d’un milliard 200 millions de livres, dont 450 millions ont été dépensés pour divers travaux. Le...