Au Théâtre Monnot, la conteuse Praline Gay-Para a emmené son auditoire d’un soir dans les «Dédales» de son imagination, bourrée d’histoires abracadabrantes. Un «one woman show» d’une heure trente, pendant lequel l’artiste a improvisé sur un itinéraire choisi par le public. Avec plusieurs arrêts au Congo, au Brésil, en Inde, en Palestine et même sur la lune ou dans le centre-ville de Beyrouth. Praline Gay-Para ne perd jamais le nord. Elle passe d’un continent à l’autre sans hésitation, sans reprendre son souffle, enchaînant anecdotes et leçons légèrement moralisatrices. Aucun décor, aucune musique, rien que la voix de Gay-Para aux mille intonations, et puis aussi quelques gestes et mimiques, pour créer l’atmosphère… Voyage dans un univers magique, où on redevient tous enfants.
Au Théâtre Monnot, la conteuse Praline Gay-Para a emmené son auditoire d’un soir dans les «Dédales» de son imagination, bourrée d’histoires abracadabrantes. Un «one woman show» d’une heure trente, pendant lequel l’artiste a improvisé sur un itinéraire choisi par le public. Avec plusieurs arrêts au Congo, au Brésil, en Inde, en Palestine et même sur la lune ou dans le centre-ville de Beyrouth. Praline Gay-Para ne perd jamais le nord. Elle passe d’un continent à l’autre sans hésitation, sans reprendre son souffle, enchaînant anecdotes et leçons légèrement moralisatrices. Aucun décor, aucune musique, rien que la voix de Gay-Para aux mille intonations, et puis aussi quelques gestes et mimiques, pour créer l’atmosphère… Voyage dans un univers magique, où on redevient tous enfants.