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Actualités - CHRONOLOGIE

Soirée théâtrale Rahbani pour Sabeh , à l'invention de Chélala (photo)

A l’invitation de la Fédération des agences de presse arabes que préside M. Rafic Chélala, le ministre de l’Information, M. Bassem el-Sabeh et son épouse ont assisté hier soir à une représentation spéciale de la pièce de théâtre de Mansour Rahbani «Les derniers jours de Socrate» qui est à l’affiche au Casino du Liban depuis plusieurs mois. Etaient également présents M. Mohammed Baalbacki, président du syndicat de la presse, M. Farid Ayar, secrétaire général de la Fédération des agences de presse arabes, le colonel Elias Farhat, directeur du service de l’orientation au sein de l’armée, les conseillers de presse des ambassades de Koweït, d’Egypte, de France et de Grande-Bretagne, MM. Mohammed Al-Zamel, Mohammed Diab, François Abi-Saab et Antoine Haddad et un certain nombre de journalistes libanais et arabes. Dans une brève allocution, le president de la Fédération des agences de presse arabes M. Rafic Chélala a souligné que le choix de cette représentation pour une soirée offerte en l’honneur du ministre de l’Information s’expliquait par la complémentarité qui existe entre le message de vérité et de liberté dont est porteuse la pièce de M. Rahbani et les responsabilités incombant, dans ce domaine, à son hôte, M. Sabeh. «Ce qu’a voulu dire au monde Mansour Rahbani, a-t-il ajouté, c’est que le Liban restera ce qu’il était, la patrie de la vérité et de la parole libre, et qu’il ne saurait en être autrement». S’adressant au ministre M. Chélala a conclu: «Nous sommes à vos côtés pour témoigner en faveur de la liberté, et vous êtes parmi nous pour réaffirmer la foi inébranlable en un pays dont l’existence même repose sur la liberté d’expression». Quant au ministre Sabeh il a tenu, à l’issue de la représentation, à rendre hommage à l’auteur de la pièce, qualifiant celle-ci de «magnifique épopée». A la question de savoir ce que faisait le gouvernement pour modifier certaines réalités illustrées par la pièce, M. Sabeh a répondu en évoquant «la volonté de vie et non de mort» qui s’en dégage, avant d’estimer que «la réalité est bonne». Prié de commenter une réplique tirée de la pièce, le ministre a cependant convenu que «le pouvoir doit craindre la parole».
A l’invitation de la Fédération des agences de presse arabes que préside M. Rafic Chélala, le ministre de l’Information, M. Bassem el-Sabeh et son épouse ont assisté hier soir à une représentation spéciale de la pièce de théâtre de Mansour Rahbani «Les derniers jours de Socrate» qui est à l’affiche au Casino du Liban depuis plusieurs mois. Etaient également présents M. Mohammed Baalbacki, président du syndicat de la presse, M. Farid Ayar, secrétaire général de la Fédération des agences de presse arabes, le colonel Elias Farhat, directeur du service de l’orientation au sein de l’armée, les conseillers de presse des ambassades de Koweït, d’Egypte, de France et de Grande-Bretagne, MM. Mohammed Al-Zamel, Mohammed Diab, François Abi-Saab et Antoine Haddad et un certain nombre de journalistes libanais et...