Actualités - CHRONOLOGIE
Basket Ball - Euroligue Saratov - Pau Orthez : un coup à jouer pour l'Elan
le 12 novembre 1998 à 00h00
Pau-Orthez a un coup à jouer chez les Russes de Saratov, jeudi soir lors de la 7e journée de l’Euroligue de basket-ball masculin. L’Élan béarnais, toujours à la recherche d’un succès européen à l’extérieur, a été mis en confiance par sa victoire (75-66) samedi sur le parquet de Chalon, l’outsider du Championnat de France. Grâce à la richesse de son collectif, l’équipe paloise fait preuve d’une grosse capacité à résister à la répétition des rencontres. Illustration: les trois gros matches alignés par l’intérieur Dwayne Scholten (plus de 15 points de moyenne), venus au bon moment pour soulager Josh Grant, très sollicité depuis le début de la saison. «Un cinq a gagné contre Vitoria, et un autre s’est imposé à Chalon», s’est félicité l’entraîneur Claude Bergeaud. Une victoire rapprocherait les champions de France du «podium» du groupe A, ce qui leur permettrait de rencontrer les trois équipes les plus mal classées du groupe B lors de la seconde phase. «Si nous l’emportons à Saratov, ce sera un gros bonus», déclare Bergeaud, sachant que son équipe terminera la première phase en recevant les Italiens de Varèse puis les Lituaniens de Kaunas. L’Élan béarnais, vainqueur de justesse à l’aller (74-71), a l’avantage de se rendre chez des Russes en perte de vitesse. Après un début d’Euroligue prometteur, Saratov a nettement baissé de pied et reste sur deux défaites, dont sa première à domicile contre Vitoria. Une baisse de régime due en grande partie à la blessure du meneur Evgueni Pachoutine, un des piliers de l’équipe avec son frère Zakhar. Euroligue (dames – 7e journée) :USVO doit battre Vrsac pour finir en tête Reste que, outre les centimètres alignés par les Russes dans la raquette avec Fetissov (2,07 m), le Lituanien Einikis (2,08 m) et le Nigérian Nwosu (2,07 m), l’Élan béarnais devra aussi surmonter la fatigue de l’éprouvant voyage vers Saratov, aux confins de l’Europe et de l’Asie. Les basketteuses de Valenciennes-Orchies devront battre les Yougoslaves de Vrsac, jeudi soir dans la salle du Hainaut, pour s’octroyer la première ou la deuxième place du groupe A, à l’issue de la dernière journée des matches aller de l’Euroligue. «Il faut absolument gagner la partie si l’on veut finir à l’une des deux premières places», résume l’entraîneur de l’USVO, Marc Silvert. Nettement battues chez les Slovaques de Ruzomberok (76-61) la semaine dernière, les Valenciennoises avaient laissé filer l’occasion de conforter leur place de co-leader. Les Yougoslaves, mal en point au classement, «pourraient bien réagir par un sursaut d’orgueil jeudi et jouer les trouble-fêtes», craint Marc Silvert. «Je me méfie de ces joueuses qui nous ont battus chez elles l’an dernier», confie-t-il. Fin octobre, «elles n’ont perdu qu’à la dernière seconde face au premier de la poule (Wuppertal)», rappelle l’entraîneur nordiste. Reste une incertitude sur la feuille de match de l’USVO. La Belge Wauters pourrait être indisponible jeudi après avoir été victime d’une blessure à une cheville dimanche face à Toulouse, lors de la 11e journée de la Ligue féminine.
Pau-Orthez a un coup à jouer chez les Russes de Saratov, jeudi soir lors de la 7e journée de l’Euroligue de basket-ball masculin. L’Élan béarnais, toujours à la recherche d’un succès européen à l’extérieur, a été mis en confiance par sa victoire (75-66) samedi sur le parquet de Chalon, l’outsider du Championnat de France. Grâce à la richesse de son collectif, l’équipe paloise fait preuve d’une grosse capacité à résister à la répétition des rencontres. Illustration: les trois gros matches alignés par l’intérieur Dwayne Scholten (plus de 15 points de moyenne), venus au bon moment pour soulager Josh Grant, très sollicité depuis le début de la saison. «Un cinq a gagné contre Vitoria, et un autre s’est imposé à Chalon», s’est félicité l’entraîneur Claude Bergeaud. Une victoire...
Les plus commentés
Frangié : Le régime Assad était une dictature, mais il protégeait les minorités
Tempête sur une scène à Saïda : quand une prière devient scandale
Et les armes alors ?