Actualités - CHRONOLOGIE
Insolite Hana Abou Diab Ghanem, bouchère (photos)
Par NASSIF Nassif, le 11 novembre 1998 à 00h00
Il est tout à fait habituel de voir les femmes travailler dans des bureaux, des commerces, ou encore dans l’enseignement. On en trouve même dans l’armée. Il est très rare de les voir exercer un métier de force. Hana Abou Diab Ghanem est pourtant bouchère. Au village de Wourhafia, dans le Chouf. Bien que ce choix lui ait été imposé par des aléas familiaux, elle dit aimer ce métier. Après un bac section philosophie, elle devient enseignante, puis couturière. Puis, un accident de la route met son boucher de frère hors circuit pendant quelques mois. Bien obligée, elle prend en charge la boucherie... et y prend goût. Elle commence donc à y travailler, aidée par un employé. Elle raconte que «dans les premiers temps, je me tailladais régulièrement. Puis, j’ai appris les techniques». Après son mariage et le rétablissement de son frère, Hana, désormais mordue de viande, ouvre avec son époux une boucherie.
Il est tout à fait habituel de voir les femmes travailler dans des bureaux, des commerces, ou encore dans l’enseignement. On en trouve même dans l’armée. Il est très rare de les voir exercer un métier de force. Hana Abou Diab Ghanem est pourtant bouchère. Au village de Wourhafia, dans le Chouf. Bien que ce choix lui ait été imposé par des aléas familiaux, elle dit aimer ce métier. Après un bac section philosophie, elle devient enseignante, puis couturière. Puis, un accident de la route met son boucher de frère hors circuit pendant quelques mois. Bien obligée, elle prend en charge la boucherie... et y prend goût. Elle commence donc à y travailler, aidée par un employé. Elle raconte que «dans les premiers temps, je me tailladais régulièrement. Puis, j’ai appris les techniques». Après son mariage et le...
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