«De telles déclarations con-damnent ceux qui les prononcent et apportent la preuve que ces parties ne veulent pas que l’Etat reprenne sa place, que la loi règne et que la justice dise son mot dans un crime que ses auteurs ont reconnu de façon tragique en scandant des slogans de victoire», a affirmé M. Dalloul qui a estimé que «la justice, en prononçant sa condamnation, ne visait ni des religions ni des confessions. Elle ne cherchait qu’à punir des criminels qui ont pris prétexte de la religion pour commettre un crime qu’aucune religion n’a jamais permis».
«Le temps est venu pour la loi d’être appliquée et le temps est venu pour tous de comprendre enfin cela», a encore dit M. Dalloul qui a réaffirmé que «l’Etat est déterminé à instaurer un Etat de droit et à ne plus laisser aucun crime impuni». Il a conclu en estimant qu’«inciter au crime et le perpétrer revient au même».
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