Rio de Janeiro — Spécial, de Habib CHLOUK
Le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, a poursuivi hier sa visite au Brésil où il était arrivé il y a une semaine. Il a quitté en matinée la ville de Salvador de Bahia, dans le nord-est du Brésil, pour Rio de Janeiro, cinquième étape de son périple brésilien, après Sao Paulo, Brasilia, Belo Horizonte et Salvador.
Un accueil officiel et populaire lui a été réservé à l’aéroport de Rio. A l’extérieur la foule qui l’attentdait brandissait des banderoles lui souhaitant la bienvenue pour sa «visite historique». Le patriarche et la délégation l’accompagnant se sont ensuite rendus en cortège officiel au siège du gouvernorat de l’Etat de Rio de Janeiro, où le gouverneur Marcello Alencar les a reçus.
De là, le cortège s’est dirigé vers la mission maronite de la ville, où il a rencontré un grand nombre de représentants de la colonie libano-brésilienne. En soirée, Mgr Sfeir devait inaugurer une place à Rio baptisée Saint-Maron. Il doit rester à Rio jusqu’à lundi.
Jeudi soir, le patriarche avait pris part à Salvador à une réception offerte par le président du Conseil épiscopal du Brésil, le cardinal Dom Lucas Moreira Neves, au siège de l’archevêché de la ville, en présence notamment du gouverneur d’origine libanaise de la province de Bahia, Paulo Ghanem, et du maire de Salvador, Antonio Inbassayi.
Dans une allocution prononcée à cette occasion, Mgr Sfeir a souligné que le Liban est «un très petit pays par rapport au Brésil, avec une superficie de dix mille kilomètres carrés et une population de 4 millions». «Toutefois, a-t-il ajouté, le Liban n’est pas seulement le pays des quatre millions, il est le pays de tous les Libanais partout où ils se trouvent».
Remerciant le cardinal Neves pour l’avoir invité au Brésil, il lui a demandé d’«aider le Liban, par ses prières et par la coopération avec ceux qui le peuvent, à recouvrer son indépendance, sa souveraineté et sa libre décision».
Le patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, a poursuivi hier sa visite au Brésil où il était arrivé il y a une semaine. Il a quitté en matinée la ville de Salvador de Bahia, dans le nord-est du Brésil, pour Rio de Janeiro, cinquième étape de son périple brésilien, après Sao Paulo, Brasilia, Belo Horizonte et Salvador.
Un accueil officiel et populaire lui a été réservé à l’aéroport de Rio. A l’extérieur la foule qui l’attentdait brandissait des banderoles lui souhaitant la bienvenue pour sa «visite historique». Le patriarche et la délégation l’accompagnant se sont ensuite rendus en cortège officiel au siège du gouvernorat de l’Etat de Rio de Janeiro, où le gouverneur Marcello Alencar les a reçus.
De là, le cortège s’est dirigé vers la mission maronite de la ville, où il a rencontré un grand nombre de représentants de la colonie libano-brésilienne. En soirée, Mgr Sfeir devait inaugurer une place à Rio baptisée Saint-Maron. Il doit rester à Rio jusqu’à lundi.
Jeudi soir, le patriarche avait pris part à Salvador à une réception offerte par le président du Conseil épiscopal du Brésil, le cardinal Dom Lucas Moreira Neves, au siège de l’archevêché de la ville, en présence notamment du gouverneur d’origine libanaise de la province de Bahia, Paulo Ghanem, et du maire de Salvador, Antonio Inbassayi.
Dans une allocution prononcée à cette occasion, Mgr Sfeir a souligné que le Liban est «un très petit pays par rapport au Brésil, avec une superficie de dix mille kilomètres carrés et une population de 4 millions». «Toutefois, a-t-il ajouté, le Liban n’est pas seulement le pays des quatre millions, il est le pays de tous les Libanais partout où ils se trouvent».
Remerciant le cardinal Neves pour l’avoir invité au Brésil, il lui a demandé d’«aider le Liban, par ses prières et par la coopération avec ceux qui le peuvent, à recouvrer son indépendance, sa souveraineté et sa libre décision».
Rio de Janeiro — Spécial, de Habib CHLOUKLe patriarche maronite, le cardinal Nasrallah Sfeir, a poursuivi hier sa visite au Brésil où il était arrivé il y a une semaine. Il a quitté en matinée la ville de Salvador de Bahia, dans le nord-est du Brésil, pour Rio de Janeiro, cinquième étape de son périple brésilien, après Sao Paulo, Brasilia, Belo Horizonte et Salvador.Un accueil officiel et populaire lui a été réservé à l’aéroport de Rio. A l’extérieur la foule qui l’attentdait brandissait des banderoles lui souhaitant la bienvenue pour sa «visite historique». Le patriarche et la délégation l’accompagnant se sont ensuite rendus en cortège officiel au siège du gouvernorat de l’Etat de Rio de Janeiro, où le gouverneur Marcello Alencar les a reçus.De là, le cortège s’est dirigé vers la mission...