
Des affiches électorales dans la banlieue sud de Beyrouth, avant les législatives de 2022. Louai Béchara/Photo d'archives AFP
L'enjeu est si crucial que, contrairement aux années précédentes, la compétition interchiite ne sera pas au rendez-vous lors du scrutin prévu en mai.
OLJ / Par Salah Hijazi, le 04 avril 2025 à 00h00
Des affiches électorales dans la banlieue sud de Beyrouth, avant les législatives de 2022. Louai Béchara/Photo d'archives AFP
En lisant cet article, nous irons jusqu’à croire que les chiites, exaspérés par la guerre destructrice, vont aller tout droit voter pour Samir Geagea ou Sami Gemayel dans les villages mixtes.
Je vous prie de ne pas publier mon commentaire incomplet. Merci
À vous lire on ira jusqu’à croire que les chiites, exaspérés par la guerre, vont aller tout droi voter dans les villages mixtes pour SamirGeagea ou Sami Gemayel dans les villages islamo-chrétiens ??
Voilà pourquoi le HB fait semblant d’appuyer le nouveau gouvernement. Il croit pouvoir obtenir les aides pour la reconstruction des villages détruits par sa faute avant les élections pour regagner la confiance de ses partisans, en promettant d’être sage tout en refusant de déposer ses armes. Il est impératif que les nouveaux dirigeants profitent de cette situation pour mettre au clair les promesses données par ce parti avant que l’impensable de le revoir revigoré ait lieu. Pas de reconstruction, pas de butins de vote de la part des habitants anéantis. C’est la seule chose sûre. A eux de jouer
Et les habitants des villages dévastés par le Hezbollah vont continuer à voter pour lui? Eh oui! "Stultorum infinitus est numerus", disait déjà Salomon!
En lisant cet article, nous irons jusqu’à croire que les chiites, exaspérés par la guerre destructrice, vont aller tout droit voter pour Samir Geagea ou Sami Gemayel dans les villages mixtes.
12 h 14, le 05 avril 2025