
Le ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan (g.) et le chef de Hay'at Tahrir el-Cham (HTC) Ahmad el-Chareh se rencontrent à Damas le 22 décembre 2024. Ministère turc des Affaires étrangères/AFP
La Turquie est en position privilégiée pour jouer un rôle de premier plan en Syrie. Mais l'influence turque pourrait-elle conduire à un rapport de force avec les nouvelles autorités à Damas ?
OLJ / Par Clara HAGE, le 03 février 2025 à 00h00
Le ministre turc des Affaires étrangères Hakan Fidan (g.) et le chef de Hay'at Tahrir el-Cham (HTC) Ahmad el-Chareh se rencontrent à Damas le 22 décembre 2024. Ministère turc des Affaires étrangères/AFP
La Turquie, favorite pour recontruire la Syrie? Pour mémoire Erdogan a commencé son reigne en 2002 en partie après les dégats des tremblements de terre de 1999 et de soumettre la construction à des règles antisysmiques strictes. Le résultat a été corruption et contournement des régles, et la destruction à grande échelle des constructions défaillantes avec le tremblement de 2023, curieusement les villes résistant à l'AKP et sa corruption ont souffert des destructions marginales. Alors reconstruire la Syrie, les pauvres, ils ne sont pas rendus comme on dit. Moi je conseillerais des + compétents.
Ça promet pour le Kurdistan alors ?
La Turquie, favorite pour recontruire la Syrie? Pour mémoire Erdogan a commencé son reigne en 2002 en partie après les dégats des tremblements de terre de 1999 et de soumettre la construction à des règles antisysmiques strictes. Le résultat a été corruption et contournement des régles, et la destruction à grande échelle des constructions défaillantes avec le tremblement de 2023, curieusement les villes résistant à l'AKP et sa corruption ont souffert des destructions marginales. Alors reconstruire la Syrie, les pauvres, ils ne sont pas rendus comme on dit. Moi je conseillerais des + compétents.
19 h 21, le 03 février 2025