
Vue sur la colline d'Achrafieh, à Beyrouth. Illustration Philippe Hage Boutros/L'Orient-Le Jour
L’absence de solutions politiques et le flou concernant la fin officielle du conflit avec Israël plombent la relance du secteur.
OLJ / Par Guillaume Boudisseau, le 27 décembre 2024 à 00h00
Vue sur la colline d'Achrafieh, à Beyrouth. Illustration Philippe Hage Boutros/L'Orient-Le Jour
La politique a entraînée la ruine financière du pays. Mais a ce stade mieux vaut attendre. Le pays, meme san guerre, a un long chemin. L'infrastructure est en ruines, et le secteur public est gangrené a cause de la corruption. Les politiciens qui ont mené a ce stade, ne peuvent pas rebâtir le pays. La plupart des acteurs des 30 dernières annes sont encore au pouvoir, ce qui n'augure rien de positif encore.
La politique a entraînée la ruine financière du pays. Mais a ce stade mieux vaut attendre. Le pays, meme san guerre, a un long chemin. L'infrastructure est en ruines, et le secteur public est gangrené a cause de la corruption. Les politiciens qui ont mené a ce stade, ne peuvent pas rebâtir le pays. La plupart des acteurs des 30 dernières annes sont encore au pouvoir, ce qui n'augure rien de positif encore.
08 h 34, le 27 décembre 2024