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Société - Témoignage

« J’aurais préféré qu’Israël me tue » : le calvaire de 18 ans d’un berger libanais dans les geôles syriennes

Jamal Hassan Nabaa raconte à « L'Orient-Le Jour » son long périple, d'une prison à l'autre, jusqu'à sa libération le 8 décembre.

« J’aurais préféré qu’Israël me tue » : le calvaire de 18 ans d’un berger libanais dans les geôles syriennes

À gauche, Jamal Hassan Nabaa avant son arrestation en 2006. À droite, après sa libération des prisons syriennes 18 ans plus tard. Photos DR

Le 24 juillet 2006, en pleine guerre de juillet entre Israël et le Hezbollah, le berger libanais Jamal Hassan Nabaa, accompagné de son fils Mohammad, âgé de 6 ans, quitte son village de Chebaa, dans le caza de Hasbaya, et se dirige vers Beit Jin,...
Le 24 juillet 2006, en pleine guerre de juillet entre Israël et le Hezbollah, le berger libanais Jamal Hassan Nabaa, accompagné de son fils Mohammad, âgé de 6 ans, quitte son village de Chebaa, dans le caza de Hasbaya, et se dirige vers Beit Jin,...
commentaires (9)

Le témoignage de ce pauvre homme devrait être lu et affiché à tous les endroits où le hezbollah et ses sympathisants se trouvent. Mais pas sûr que ces récits émeuvent tous ceux qui ont laissé souffrir leurs compatriotes comme s'ils étaient des étrangers. L'état libanais, mais surtout certains partis qui ont comploté avec le régime dictateur et qui l'ont soutenu, sont aussi responsables de laisser ces pauvres innocents dans l'isolement et la souffrance. Honte à eux.

Citoyen

19 h 36, le 25 décembre 2024

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Commentaires (9)

  • Le témoignage de ce pauvre homme devrait être lu et affiché à tous les endroits où le hezbollah et ses sympathisants se trouvent. Mais pas sûr que ces récits émeuvent tous ceux qui ont laissé souffrir leurs compatriotes comme s'ils étaient des étrangers. L'état libanais, mais surtout certains partis qui ont comploté avec le régime dictateur et qui l'ont soutenu, sont aussi responsables de laisser ces pauvres innocents dans l'isolement et la souffrance. Honte à eux.

    Citoyen

    19 h 36, le 25 décembre 2024

  • Pourquoi ce titre mentionnant Israël, alors qu'il n'est absolument pas concerné par cette histoire dramatique ?

    Frank Nouma

    17 h 00, le 25 décembre 2024

  • L’état libanais est tout aussi complice que l’état syrien dans ces détentions arbitraires. Qui paiera pour eux ? Les mêmes qui nous promettent des jours meilleurs ? CQFD

    Coroll

    15 h 34, le 24 décembre 2024

  • On n’oubliera jamais ce que les Assad nous ont fait subir. Que cette famille soit maudite à vie et que leur descendance disparaisse

    Lecteur excédé par la censure

    10 h 45, le 24 décembre 2024

  • "Mes enfants m’ont perdu, ils ont été privés de ma tendresse. Je n’ai rien à leur laisser"... Si, tout votre amour, et notre amitié ! Joyeux Noël

    F. Oscar

    09 h 40, le 24 décembre 2024

  • Honte a Ha'zbala, et tous les partis (Aounistes, PSNS, Amal etc....), qui ont adopte ce regime sanguinaire, un des pires de l'histoire, pour leurs propres interets etroits! Vous etes sur le mauvais cote de l'histoire qui vous jugera!

    Cadmos

    08 h 43, le 24 décembre 2024

  • Que disent les membres du PSNS laquais du regime Syriens ? Antoun Saadeh a honte de vous

    Nammour JP

    08 h 10, le 24 décembre 2024

  • Et c'est ce régime que Hezballah a protégé. Ce régime qui a traité le liban comme sa chasse gardée. Ce régime qui est pour une majorité de libanais un ennemi. Hezballah ne s'est á aucun moment solidarisé avec les libanais contre le régime de Assad et à toujours exigé d'eux qu'ils se solidarisent avec lui, même quand il prend des décisions unilatérales comme combattre israel. Que l'on m'explique dès lors qui sont les vrais traitres, que l'on m'explique qui sont les collabos

    Moi

    23 h 44, le 23 décembre 2024

  • Quel beau et touchant témoignage. Merci ! Merci au l'Orient-Le Jour. On comprend les incroyables épreuves de ce très brave homme, particulièrement d'avoir été séparé de ses enfants. Ce régime a vraiment été une plaie pour les Syriens comme pour ses voisins.

    Nicolas ZAHAR

    23 h 37, le 23 décembre 2024

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