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Politique - Éclairage

À Bkerké, les chiites rejoignent Raï à mi-chemin : oui à la 1701 et au « consensus » présidentiel

Lors d’un sommet spirituel, les dignitaires religieux ont exhorté le Conseil de sécurité « à se réunir immédiatement et voter une résolution instaurant un cessez-le-feu »

À Bkerké, les chiites rejoignent Raï à mi-chemin : oui à la 1701 et au « consensus » présidentiel

Le patriarche maronite, Béchara Raï, entouré des chefs religieux conviés au sommet spirituel de Bkerké, le 16 octobre 2024. Photo tirée du compte X du patriarcat maronite

Les regards étaient braqués mercredi sur Bkerké où les chefs religieux se sont réunis sous la houlette du patriarche, Béchara Raï, pour prendre une position unifiée à l’égard de la guerre au Liban. Mais c’est surtout le président du Conseil supérieur chiite, le cheikh Ali Khatib, qui était la vedette de l’événement. Et pour cause : il s’agit du premier signe d’ouverture de cette communauté, en particulier du Hezbollah, à l’égard de l’Église maronite après des mois de froid, le patriarche Raï ayant violemment critiqué à plusieurs reprises la décision unilatérale du parti de Dieu d’entraîner le pays dans la guerre contre Israël en soutien au Hamas.

Le sommet de Bkerké est intervenu sur fond de sérieux revers subis par le parti chiite sur le terrain. De quoi pousser le cheikh Khatib, et derrière lui le Hezbollah, en quête d’une couverture nationale, à avaliser le communiqué publié à l’issue de la réunion. Y figurent des points portant sur la présidentielle et, surtout, l’application de la résolution 1701 (2006) du Conseil de sécurité « dans son intégralité », en référence notamment à l’appel de ce texte onusien au retrait du Hezbollah des zones du sud du Litani mais aussi à l’arrêt des violations israéliennes de la souveraineté libanaise. 

La réunion s’est tenue en présence du nonce apostolique au Liban, Paolo Borgia, et de plusieurs figures proches des instances religieuses. Peu avant le début de la rencontre, le chef de l’Église maronite a réservé un accueil chaleureux à ses convives, notamment le cheikh Khatib. « Nous ne voulions pas boycotter le sommet spirituel qui se tient dans des circonstances difficiles », explique à L’Orient-Le Jour un proche du Conseil supérieur chiite. Fait notable : le mufti jaafarite, le cheikh Ahmad Kabalan, perçu comme un porte-parole officieux du Hezbollah chargé de répondre au patriarche maronite, faisait partie de la délégation du Conseil supérieur chiite, apprend-on auprès de l’un des participants à la réunion. 

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De toute évidence, la démarche de Bkerké reflète une volonté de renvoyer une image d’unité, à l’heure où les craintes se font sentir quant à une possible marginalisation de la communauté chiite suite à un éventuel affaiblissement de ses représentants politiques. C’est d’ailleurs autour de ce point que s’est articulée l’allocution du prélat à l’ouverture de la réunion. « Ce sommet religieux est une occasion de débattre d’une manière responsable, et avec fraternité, sans que personne ne se sente marginalisé ou que certains veuillent faire passer quelques points aux dépens des autres », a-t-il dit, déplorant « une tragédie dont souffrent tous les Libanais ». Après avoir ouvert le bal, le patriarche Raï a donné la parole au reste des chefs religieux. Tous ont plaidé pour un cessez-le-feu immédiat et stigmatisé les agressions israéliennes contre le Liban, déplorant le fait que l’État hébreu transgresse le droit international et les résolutions des Nations unies. Les participants ont également loué la solidarité dont font preuve les Libanais depuis le début de la guerre dans le pays, le 23 septembre dernier.

Compromis à la libanaise

Prenant la parole, le cheikh Khatib a dénoncé « une agression israélienne contre le Liban dans son ensemble », appelant ses homologues à « une position à la hauteur (de la gravité) de la guerre génocidaire menée par Israël ». S’il n’a pas manqué de saluer la mémoire du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah (assassiné le 27 septembre dans une frappe israélienne), et des « hommes courageux de la résistance », le dignitaire chiite a pris le soin d’affirmer que sa communauté n’est pas sortie du cadre de l’État. « Au contraire, nous veillons à l’État, sa force et son pouvoir. Mais c’est lui qui a abandonné, des décennies durant, sa souveraineté et s’est montré incapable de défendre son peuple (…) », a-t-il lancé. Il a dans ce cadre plaidé pour l’édification d’un État « fort et capable » de s’acquitter de ses responsabilités pour préserver la dignité de son peuple. Pour ce faire, il faut, selon le dignitaire chiite, commencer par élire un président de la République « consensuel », qui bénéficierait du soutien de tous les Libanais. Une façon d’appuyer une nouvelle fois le processus initié il y a une quinzaine de jours par le président de la Chambre, Nabih Berry, le Premier ministre sortant, Nagib Mikati, et le leader druze Walid Joumblatt, en quête d’une entente élargie autour du futur chef de l’État.

Mais si toutes les personnalités présentes mercredi à Bkerké s’accordent sur la nécessité d’élire un tel président, la clause du communiqué final évoquant ce point a fait débat. Selon les informations de L’OLJ, certains chefs religieux ont préféré se prononcer en faveur d’un scrutin en bonne et due forme comme le stipule la Constitution. Un compromis linguistique à la libanaise a finalement été trouvé : le sommet de Bkerké a appelé à l’élection rapide « d’un président qui bénéficierait de la confiance de tous les Libanais, de la plus large entente et du plus grand consensus ». 

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Quant au reste du communiqué, il serait passé comme une lettre à la poste. Les dignitaires ont avalisé sans réserve le point portant sur « la mise en application de la 1701 dans son intégralité, notamment pour ce qui est du soutien à l’armée et à son déploiement au sud du Litani ». Un point que le cheikh Khatib n'a toutefois pas mentionné dans son allocution. « Nous sommes pour la 1701 parce que nous voulons un cessez-le-feu dans les plus brefs délais », commente la source proche du Conseil supérieur chiite, rappelant que le communiqué de Aïn el-Tiné était, lui aussi, allé dans ce sens. Rejoignant cette dynamique, les chefs religieux ont exhorté le Conseil de sécurité des Nations unies « à se réunir immédiatement et à voter une résolution instaurant un cessez-le-feu », sans oublier d’appeler le gouvernement et le Parlement à « s’acquitter de leurs responsabilités » sur ce plan. Une prise de position qui leur a valu les félicitations de Nagib Mikati qui a salué, selon un communiqué du Sérail, les chefs religieux pour « avoir établi une feuille de route pour la prochaine étape ». 

Les regards étaient braqués mercredi sur Bkerké où les chefs religieux se sont réunis sous la houlette du patriarche, Béchara Raï, pour prendre une position unifiée à l’égard de la guerre au Liban. Mais c’est surtout le président du Conseil supérieur chiite, le cheikh Ali Khatib, qui était la vedette de l’événement. Et pour cause : il s’agit du premier signe d’ouverture...
commentaires (29)

""Après avoir ouvert le bal, le patriarche Raï a donné la parole au reste des chefs religieux"". Au reste des religieux, pour confirmer sa priorité du rôle de prise de parole, lors de l’accueil des invités ? Je ne sais pas si au Liban il y a une supériorité hiérarchique entre les chefs de chapelles religieuses. L’histoire ne dit pas si lors du bal, quelques dignitaires religieux ne sachant sur quel pied danser, avancent masqué par des propos de circonstance. Moralité : se réunir à Bkerké entre chefs religieux est plus concluant qu’on ne le pense, que de se réunir au Parlement…

NABIL

19 h 33, le 18 octobre 2024

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Commentaires (29)

  • ""Après avoir ouvert le bal, le patriarche Raï a donné la parole au reste des chefs religieux"". Au reste des religieux, pour confirmer sa priorité du rôle de prise de parole, lors de l’accueil des invités ? Je ne sais pas si au Liban il y a une supériorité hiérarchique entre les chefs de chapelles religieuses. L’histoire ne dit pas si lors du bal, quelques dignitaires religieux ne sachant sur quel pied danser, avancent masqué par des propos de circonstance. Moralité : se réunir à Bkerké entre chefs religieux est plus concluant qu’on ne le pense, que de se réunir au Parlement…

    NABIL

    19 h 33, le 18 octobre 2024

  • Quoique le patriarche maronite ne soit pas ma tasse de thé, mais de là à dire que le chef de l’église maronite « a ouvert pas un bal », c’est est plus qu’incongru. Et l’expression, ouvrir le bal, est encore plus offensante qu’elle intervient dans le cadre d’un sommet spirituel qui réunit tous les chefs des communautés religieuses dans les moments les plus difficiles que traverse le pays.

    Hitti arlette

    10 h 41, le 18 octobre 2024

  • le cheikh Ali Khatib devrait EXCOMMUNIER les dirigeants du HEZBOLLAH pour leurs crimes contre le LIBAN et montrer ainsi qu il est de bonne foi.

    HABIBI FRANCAIS

    13 h 55, le 17 octobre 2024

  • 'Chia-Rai-Bia' ou Charabia. et: BIA: is the process of determining the criticality of business activities and associated resource requirements to ensure operational resilience and continuity of operations during and after a business disruption. Un peu de jeu de mots ces jours sombres.....

    Cadmos

    13 h 00, le 17 octobre 2024

  • Du 'Chia-Rai-Bia' total!

    Cadmos

    12 h 57, le 17 octobre 2024

  • Un peu trop masculine cette hsitoire...

    Le Tigre

    12 h 47, le 17 octobre 2024

  • Kaput toute forme de curaille!!!

    Alexandra

    12 h 17, le 17 octobre 2024

  • The two Chiites clergymen are the mouthpiece of hb . Until very recently they were very intansigent now they come running pleading for the full implementation of 1701. really ? it just may be too late for that .

    EL KHALIL ABDALLAH

    12 h 14, le 17 octobre 2024

  • 1559 ou rien !!!

    Wow

    12 h 10, le 17 octobre 2024

  • Les enturbannés pensent pouvoir s’en sortir aussi malhonnêtement en restant dans le déni total? Ou alors c’est l’inversion et dans ce cas, on a affaire à des barbus terroristes et prédateurs, sans appel.

    Wow

    12 h 07, le 17 octobre 2024

  • La parole des hommes de religion au Liban ne vaux pas tripette. Voeux pieux...

    Michel Trad

    11 h 51, le 17 octobre 2024

  • Waw le Hezbollah est vraiment dans l’impasse

    Eleni Caridopoulou

    11 h 33, le 17 octobre 2024

  • LE MOT AU PATRIARCHE C,EST POUR LUI MONTRER L,APPARTENANCE ET LES CROYANCES ANCREES DE LA SHIHADA CHEZ CES GENS QUI VIENNENT LUI CHANTER LA 1701 ET LE CONSENSUS. CA NE COLLE PAS. IL DOIT ETRE ECLAIRE CAR IL CHANTAIT LUI AUSSI LE CESSEZ LE FEU ET LA 1701. SI VOUS LE JUGEZ PUBLIABLE APRES CETTE CLARIFICATION FAITES-LE SINON JE COMPRENDS.

    LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EST EN DANGER.

    11 h 17, le 17 octobre 2024

  • PAS D,ELECTION NI PRESIDENTIELLE ET NI LEGISLATIVE TANT QU,IL Y A UNE COMMUNAUTE ARMEE DANS LE PAYS. APPLICATION A LA LETTRE DE LA 1559, APPARTENANCE DECLAREE A LA PATRIE LIBAN, ET L,ETAT DE DROIT NAITRAIT POUR TOUS SES ENFANTS.

    LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EST EN DANGER.

    11 h 01, le 17 octobre 2024

  • La communauté chiite n’est pas sorti du cadre de l’état? Et puis quoi encore? Ils ont décidé seules de mener une guerre perdue d’avance et viennent nous pleurer dans les jupons en nous faisant croire qu’ils l’ont fait pour le bien du pays et de ses citoyens. Mais comment peuvent ils se regarder dans un miroir en sachant pertinemment que les palestiniens civils morts aGaza, les destructions colossales et les guerres déclenchées partout dans la région sont de leur propre labeur et leur cupidité? Les libanais attendent impatiemment le jour d’après pour les juger, libre aux autre de pardonner.

    Sissi zayyat

    11 h 01, le 17 octobre 2024

  • A L,ATTENTION DU PATRIARCHE RAI =SEUL LE FAKIH DECIDE. -*LES FAKIHIENS AU JOB*. -MEME SI C,EST SUICIDE. -C,EST VOLONTE DU *RAB*. -CHACUN SE VOIT CHOISI, - EN MARTYR ET CONVERGE, -POUR LE GRAND PARADIS, -ET SES PROMISES VIERGES. =ON SERT EN VERITE, -L,HEGEMONIE PERSIQUE, -SUR SA PROPRE CONTREE, -ET TOUTE AUTRE ARABIQUE. -DE LA SAGESSE UN BRIN, -TRAVERSANT LEUR ESPRIT, -LEUR DIRAIT TOUT EST RIEN, -DEPOURVU DE PATRIE. =CEUX QUI T,ONT VISITE, -FAKIHIENS JUSQU,AU SANG, -VEULENT NOUS INSTAURER, -LE FAKIH AU LIBAN. -DU HEZB SE SONT LES CLAUSES, -QUE PARTAGE L,AUTRE AILE. -ILS VENDENT DE LA PROSE

    LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EST EN DANGER.

    10 h 46, le 17 octobre 2024

  • Que tous ces représentants des communautés se contentent de prier et de prêcher la tolérance et la foi, ou tout ce qui est de leur ressort, et qu’ils arrêtent de jouer aux chefs militaire pour certains, comme Kassem par exemple ou aux décideurs politiques comme les autres. Nous ne les avons pas autorisé à parler en notre nom alors qu’ils reprennent leurs rôles de dignitaire et qu’ils laissent les citoyens et les patriotes politiques s’occuper du sort de notre pays usurpé. Ils sont la cause même de notre division. Alors ça suffit.

    Sissi zayyat

    10 h 28, le 17 octobre 2024

  • Tant que les Chiites n’accepteront pas l’élection d'un Président selon les règles démocratiques de la constitution et de se désister de leurs armes publiquement et de la bouche du HB lui même, leur démarche est un piège pour ne pas dire une supercherie. Tout accord avec le HB sans conditions écrites et sans mise en application immédiate ne mènera qu'a la guerre civile. La démarche en tant que telle est louable mais seuls les politiques régleront le problème et celui ci commence par l’élection du Président et le démantèlement de la structure armée du parti. E L E C T I O N !!! Pas choix !!!

    Pierre Christo Hadjigeorgiou

    10 h 28, le 17 octobre 2024

  • Leur discours est à peine mensonger. Ils disent respecter l’état et sa constitution alors que le haut perché persiste à bloquerla séance électorale voulue par les patriotes. Ce double langage ne passe plus et ils feraient mieux de prêcher ailleurs. On sait qu’à chaque fois qu’ils se retrouvent dos au mur ils se rappellent au souvenir de notre existence et nos exigences pour mieux nous berner et à la fin obtenir ce qu’ils ont oujours voulu. La mainmise totale sur notre pays une fois les naïfs a dans la poche. Aoun en est la meilleure preuve. Non a un président de leur choix, c’est définitif.

    Sissi zayyat

    10 h 07, le 17 octobre 2024

  • -RAI, CHER PATRIARCHE, - LAISSE A D,AUTRES LA MARCHE. -LA MILLE SEPT CENTS UN, -EST EXCLUE PAR CHACUN. -ON VEUT BIEN T,APPATER, -QU,ON AILLE AILLEURS PARLER. -LA 1559 SEULE, -EST L,EXACTE BOUSSOLE, -QUI MENE A L,ETAT VRAI, -*UN LIBAN LIBANAIS*. -RENVOIE-LES DISCUTER, -AVEC SAMI, SAMIR,-ET TANT D,AUTRES SONT PRETS, -UN ETAT A BATIR. - CETTE 1559, -INSTAURE UN ETAT NEUF.

    LA LIBRE EXPRESSION. LA PATRIE EST EN DANGER.

    09 h 42, le 17 octobre 2024

  • Les barbus veulent et prétendent rester dans l'état ... sous prétexte (comme tant d'autres) que c'est l'absence de l'état qui les a obligé à prendre les choses en main ... et comme l'état Libanais est absent ils ont pris les choses en main en Syrie au Yemen etc... ils font l'impasse sur la 1559. Bref de la parlotte pour rien, demain même si un président est élu, ils trouveront beaucoup de prétextes pour garder leurs armes et finir de nouveau par étouffer le Liban et les Libanais. Aucune confiance dans les paroles ce sont les actes qui comptent.

    Zeidan

    08 h 56, le 17 octobre 2024

  • ils se font doux et gentil dans les moments difficiles et apres ils vous diront: bellouwa wou chrebo mayyeta....quand ils ne liquident pas leur opposants et offrent du beklewa....30 annees d'arrogance...je vous guarantie que ca continuera....

    Elementaire

    08 h 02, le 17 octobre 2024

  • "Le cheikh Khatib a dénoncé « une agression israélienne contre le Liban". Il a publié de rappeler que, cette guerre, c’est le Hezbollah qui l’a voulue. Feu Nasrallah de sinistre mémoire s’en était, lui-même, abondamment vanté. -  "Sa communauté n’est pas sortie du cadre de l’État". Qu’il nous cite l’article de la Constitution ou d’une quelconque loi autorisant un parti politique à posséder une milice. "L’État |a abandonné (...) sa souveraineté". Exact, ou plutôt, il a laissé une milice étrangère s’en emparer. Il serait justement temps que ledit État récupère ses droits et son autorité.

    Yves Prevost

    07 h 54, le 17 octobre 2024

  • Le titre de l’article fait croire à des concessions de la part de la milice iranienne, or, je n’en vois aucune. Cheikh Khatib veut un président "consensuel", c-à-d agréé par le Parti. Par ailleurs, il accepte une demi-1701, tronquée de toute référence à la 1559 et au désarmement des milices. Ce qui est, bien évidemment inacceptable. Pour ceux qui n’avaient pas su (voulu?) tirer les leçons de l’expérience de 2006, celle de 20024 devrait suffire à faire comprendre le danger d’une milice surarmée ayant pouvoir, sur un simple signe venu d’une capitale étrangère de réduire en cendres notre pays.

    Yves Prevost

    07 h 42, le 17 octobre 2024

  • Toutes les mi-mesures, et les accords de surface face aux caméras, cherchent à masquer l’abîme profonde qui sépare le projet d’édification de l’Etst, du projet de la milice, fait pour contourner la légalité locale et et internationale, et conforter l’Etat dans l’Etst. Sans application de la 1559 point d’Etat ! Il faut être clair la-dessus. Et ces réunions tribales devant les caméras , affichant des mines faussement satisfaites n’y changeront rien. !

    LeRougeEtLeNoir

    07 h 06, le 17 octobre 2024

  • CEs barbus sont tous à l origine d un liban a 18 sectes religieuses Et à la base du problème libanais ; ils ne devraient pas avoir le mot à dire dans les politiques du pays .

    Robert Moumdjian

    05 h 24, le 17 octobre 2024

  • Application de la 1701 dans les conditions actuelles !?!?!?? Tout accord qui ne donne pas à l'armée Libanaise l'Exclusivité de posséder et d'utiliser des armes n'est point un accord mais un subterfuge. Que les citoyens soient tous à égalité!

    Wlek Sanferlou

    03 h 49, le 17 octobre 2024

  • Ils nous ont servi a quoi tous ceux-la

    Abdallah Barakat

    01 h 50, le 17 octobre 2024

  • Tous les barbus chretiens et musulmans ne devraient pas se meler de politique On a eu assez de votre mauvaise influence

    Robert Moumdjian

    00 h 29, le 17 octobre 2024

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