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Politique - Décryptage

Et si, au fond, personne ne souhaitait vraiment élire un président ?

OLJ / Par Scarlett HADDAD, le 17 mars 2023 à 00h00

Ne faudrait-il pas se poser la question de savoir si, au fond, personne n’est intéressé par élire un président, dans la mesure où aucune partie n’entend assumer la responsabilité de la crise tant qu’il n’y a pas une perspective réelle de solution ?...
Ne faudrait-il pas se poser la question de savoir si, au fond, personne n’est intéressé par élire un président, dans la mesure où aucune partie n’entend assumer la responsabilité de la crise tant qu’il n’y a pas une perspective réelle de solution ?...

commentaires (9)

Je crois que personne n’a surtout envie de voir se réitérer un règne désastreux comme le précédent, celui de ton héros (zéro?). Chat échaudé etc…

Gros Gnon

17 h 50, le 17 mars 2023

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Commentaires (9)

  • Je crois que personne n’a surtout envie de voir se réitérer un règne désastreux comme le précédent, celui de ton héros (zéro?). Chat échaudé etc…

    Gros Gnon

    17 h 50, le 17 mars 2023

  • Effectivement. Mieux vaut rester sans president que d'avoir encore un cretin de plus a ce poste....

    Michel Trad

    16 h 35, le 17 mars 2023

  • On a’l temps, ya pas’l feux! Pendant que certains bloquent, les autres jouent au vote blanc, le reste regardent ailleurs, une génération de plus, ( une autre ), se retrouve une fois de plus anéanti. À partir de 75 une génération entière n’a vu que la guère, les conflits, les assassinats, les rendements de compte mafieux. De 1990 à 2019 une génération qui n’a vu que du vol, blanchissement, détournements de milliards de dollars, trafic de drogue, vol à main armée des banques et institutions financières. Corruption des juges et de la justice. Peakey Blinders quoi! Finalement à partir de 2019 en avant, c’est une génération qui meurt de faim, qui n’a pas de quoi manger, de se soigner, d’étudier, de se former. Une génération frustrée, désolée, dépressive, des enfants sans ilusión, sans avenir, des parents impuissants! Un Liban fantasme, un pays qui n’est plus, Un peuple apathiquo-anestesié. …. Mais pendant ce temps, les mafieux qui ont tout l’argent du peuple libanais ont tout le temps du monde, personne n’est pressé. Normal, leurs enfants n’ont besoins de RIEN. Bien au contraire. Pendant que les élus du peuple empoisonnent ce même peuple qui les a élu, une génération de plus anéantit. En 75 jusqu’à nos jours, le Liban a éteint la lumière. Il faudra plusieurs générations pour qu’elle revienne. La notre ne la reverra point. Inutile d’insister. La bonne nouvelle, c’est que la génération de politiciens mafieux, d’aujourd’hui ne sera plus là non plus. En attendant …

    Antoine Chouery

    16 h 12, le 17 mars 2023

  • CEUX QUI DANS LE FOND NE VEULENT PAS QU,IL Y AIT UN PRESIDENT SONT TOUS CEUX QUI PRESENTENT UN CANDIDAT DE PROVOCATION. LES UNS LE FONT CAR LE VIDE LEUR FACILITE LA MAINMISE ABSOLUE SUR LE PAYS ET LES AUTRES PAR CRAINTE D,UN PRESIDENT DIT CONSENSUEL MAIS QUI SERAIT SOUS LA COUPE BARBU/BERRIOTE.

    MON CLAIR MOT A GEAGEA CENSURE

    13 h 01, le 17 mars 2023

  • Pourquoi mon commentaire a été censuré? Je n’ai attaqué personne, j’ai simplement énuméré des faits indéniables de la société libanaise actuelle. Alors on peut continuer à se voiler la face, à jouer à l’autruche mais le jour où plus personne ne pourra s’exprimer librement, on se reverra.

    Lecteur excédé par la censure

    11 h 18, le 17 mars 2023

  • "Et si, au fond, personne ne souhaitait vraiment élire un président ?". Il faut distinguer entre ceux qui bloquent et ceux qui votent. Certains sont préoccupés de voir le pays au fond du gouffre et les citoyens mourir de faim ou faute de soins et s'efforcent de placer à Baabda un président capable de relever le Liban. Malheureusement, nous avons, en face Berry qui invente des règles non prévues par la Constitution afin de bloquer l'élection, et d'autres qui votent blanc ou nul et quittent l'Assemblée pour provoquer un (prétendu) défaut de quorum. Il est évident que ceux-là - vos bons amis, madame Scarlett - ne veulent pas d'un président.

    Yves Prevost

    06 h 59, le 17 mars 2023

  • Un article vide, aucune analyse profonde: 'Much ado about nothing......'

    Sabri

    03 h 47, le 17 mars 2023

  • Mais de là à affirmer que les Saoudiens et les Iraniens ont déjà évoqué le dossier libanais et en particulier la présidentielle et qu’ils seraient parvenus à un compromis sur le nom du président et celui du Premier ministre, il y a un grand pas qui ne semble pas encore avoir été franchi. CESSEZ D'ECRIRE DES INEPTIES CAR AOUN A BIEN MONTRE QUE C'EST LE PRESIDENT QUI DECIDE ET QUE LE PREMIER MINISTRE NOMME A TRAVERS LES CONSULTATIONS DONT LE RESULTAT EST OBLIGATOIRE VIS A VIS DU PRESIDENT NE POURRA FAIRE SON GOUVERNEMENT QUE SI IL SE PLIE AU DESIRADAT DU PRESIDENT ( OU DANS LE CAS DE AOUN DU GENDRE BASSIL).TOUTES LES PROMESSES FAITES PAR AOUN SUR CE SUJET ONT ETE BAFOUEES PAR LE PRESIDENT SORTANT CAR HARRIRI N'A PAS PU FAIRE UN GOUVERNEMENT ET MIKATI A SOUFFERT POUR FAIRE UN DEUXIEME GOUVERNEMENT FANTOCHE LA VERITE: SEUL LE PRRSIDENT DE PAR SA SIGNATURE CONTROLE LE PAYS ET DANS LE CAS DE AOUN C'ETAIT BASSIL VIA NASRALLAH. VOULEZ VOUS CHERE MADAME HADDAD RECOMMENCER LE MEME SCENARIO QUE LE CATATROPHIQUE REGNE DE AOUN???

    LA VERITE

    02 h 19, le 17 mars 2023

  • C’est la meilleure, personne ne veut se faire élire, par crainte que son mandat soit associé à un désastre, bien que des trajectoires ont coûté des guerres, du sang versé. Mais la bonne gouvernance est le dernier souci de beaucoup de prétendants. Leur mot d’ordre était, le fauteuil présidentiel d’abord, et puis on verra. L’idée sur le risque d’un mandat inutile vous est inspirée du dernier mandat, non ? Six années pour rien. Personne ne veut se faire élire, ils se refilent la patate chaude, ""hot patatoe"" comme on dit chez l’oncle Sam préférant ainsi ""occuper la population en se lançant réciproquement des accusations pour cacher leur impuissance à agir"". C’est peu dire que le pays est malade, ingouvernable et que personne ne veut assumer. Mais, la situation de la livre est tellement intenable, qu’on se demande par quel miracle elle se redressera. Bien vu madame Haddad.

    Nabil

    01 h 42, le 17 mars 2023

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