Outre les restrictions imposées depuis près d’un an et demi, les Libanais supportent une augmentation des frais et commissions facturés par les banques, contre laquelle ils ne peuvent rien.  

«Les banques essaient de grappiller des revenus là où elles peuvent, et cela ne semble pas prêt de s’arrêter», selon Fouad Debs, cofondateur de l’Union des déposants.
«Les banques essaient de grappiller des revenus là où elles peuvent, et cela ne semble pas prêt de s’arrêter», selon Fouad Debs, cofondateur de l’Union des déposants. Anwar Amro/AFP

Ouverture de compte gratuite, aucun frais de tenue de compte, service d’alertes par SMS offert…le temps où les banques libanaises se livraient à des guerres commerciales pour attirer les clients est bien loin. Désormais, «on se demande si elles ne font pas tout pour se débarrasser de nous!», s’indigne un client en énumérant les nombreux frais dont il doit s’acquitter tous les mois. Pour lui, s’accumulent désormais frais de tenue de compte mensuels, qui ont augmenté de 2 à 3 dollars pour chaque compte courant (qu’il soit libellé en livres libanaises, «lollars» ou «dollars frais»), frais de 1 dollar pour l

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