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Nos Lecteurs ont la Parole

Les larmes des mères seront vos juges !

Vous les politiciens menteurs, les dirigeants caméléons... partez ! Personne ne vous supporte plus. Là où vous passez : zizanie, mort, terreur. La honte est un mot que vous ignorez depuis que vous êtes au pouvoir. Le pays sombre dans la détresse et vous vous préoccupez uniquement de vos bénéfices. Le pays agonise et vous, vous vous déchirez pour distribuer le gâteau ministériel, avec une insolence à faire vomir.

Partez sans vous retourner en emportant avec vous la malédiction tombée, à cause de vous, sur un peuple qui vous méprise.

Pourquoi il vous méprise ?

Lisez la lise et ne tentez pas de cocher. Vous êtes tout ça :

Vous avez volé les ressources du pays et, avec elles, la décence du citoyen.

Vous avez violé les serments et saccagé, en passant, tout le passé honorable de notre histoire.

Vous vous accusez réciproquement de toutes les bassesses, alors que chacun d’entre vous est plus corrompu que l’autre. Difficile de trier.

Vous avez royalement ignoré les exigences du peuple qui vous a crié ses désirs et ses douleurs et vous lui avez mis au-dessus de la tête l’épée de Damoclès, alias son pain quotidien, pour le faire taire.

Vous avez appauvri les riches et rendu les pauvres plus pauvres encore.

Vous vous êtes engagés partout en promesses mais vous n’êtes que des lâcheurs.

Vous nous avez fait honte vis-à-vis de tout le public étranger alors que le peuple libanais boit la fierté au biberon.

Vous ne faites que parler, sachant que nous attendons des faits et des mesures... jamais accomplis.

Et vous avez l’effronterie de paraître dans les médias et de souiller les talk-shows par vos arguments dérisoires qui puent les mensonges et les dessous-de-table, le domaine où vous excellez.

Enfin, avant d’arrêter de lister vos mille et un déboires, vous avez échoué humainement lors de l’explosion de notre Beyrouth.

Oui « notre », parce que vous n’avez aucun lien avec cette belle et formidable capitale, rien ne vous relie à sa beauté et à sa culture. Rien ne vous relie à quoi que ce soit de beau ou d’élégant dans ce pays.

Parce que si vous aviez un petit brin d’empathie, vous auriez creusé la terre avec les mains pour tenter de sauver un seul citoyen.

Partez tous ! Parjures... « Kelkoun Ye3neh Kelkoun. » Bon vent !


Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. Merci de limiter vos textes à un millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris.

Vous les politiciens menteurs, les dirigeants caméléons... partez ! Personne ne vous supporte plus. Là où vous passez : zizanie, mort, terreur. La honte est un mot que vous ignorez depuis que vous êtes au pouvoir. Le pays sombre dans la détresse et vous vous préoccupez uniquement de vos bénéfices. Le pays agonise et vous, vous vous déchirez pour distribuer le gâteau ministériel,...

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