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Lifestyle - Des lecteurs témoignent

« J’attendais impatiemment le samedi pour lire « Les Copains. C’était mon journal »

Alors que l'aventure Junior prend fin, des lecteurs des Copains, le premier supplément des jeunes de L’Orient-Le Jour et ancêtre de Junior, partagent leurs souvenirs.

Édouard Bitar, un des membres fondateurs de livelovelebanon« Tous les samedis, je demandais à papa, qui n’achetait pas régulièrement le quotidien, de l’acheter pour lire Les Copains. D’ailleurs, au lycée, les profs de français nous demandaient aussi de le lire. Mes souvenirs remontent à 1993-1994. J’étais alors membre du Club des Copains et je participais aux activités organisées par l’équipe, en particulier les sorties dans des lieux insolites où nos parents ne pouvaient pas nous emmener.

Grâce à la revue, j’ai découvert le centre-ville de Beyrouth rénové. C’était la première fois que je visitais la place de l’Étoile et que j’ai vu le Parlement restauré. Je savais que ce quartier de la capitale avait été dévasté par la guerre. Et là, je voyais Beyrouth se reconstruire, une nouvelle ville naître sur les ruines de l’ancienne. Une grande époque dont on a été témoin.

J’ai participé aussi à l’atelier de l’archéologue, organisé dans le parc archéologique entre églises et mosquées du centre-ville. En manipulant les tessons de poterie, en écoutant les explications d’un archéologue, j’ai rêvé d'en devenir un aussi.

La visite de l’hippodrome et celle de la gare de Mar Mikhaël sont inoubliables. Le site des stèles de Nahr el-Kalb m’a impressionné. Il retrace l’histoire du Liban, marquée par de nombreuses invasions.

De l’hebdo Les Copains, je garde surtout le souvenir de ces visites ludiques et instructives à la fois. La dynamique, créée par l’équipe de journalistes, est mémorable. »

Cynthia Kamal Karam, comédienne, chanteuse et clown d’hôpital

« Les Copains, je ne le lisais que lorsque j’allais passer des vacances chez ma tante à Ballouné. C’était un luxe pour moi d’avoir mon journal. J’aimais surtout participer aux jeux et lire les blagues. J’ai gardé longtemps des exemplaires dans une caisse que je transportais dans mes déménagements. Pourquoi ? Peut-être pour les montrer, un jour, à mes enfants ? »

Albert Costanian, économiste, journaliste télé et animateur de l’émission « Vision 2030 » sur LBCI

« J’attendais impatiemment le samedi pour lire Les Copains. C’était mon journal. J’aimais les couleurs de la une et l’odeur du papier associée à celle de la man'ouché que mon père m’achetait régulièrement avec le journal. Ce que je lisais surtout, c’était l’actualité politique simplifiée, mise à la portée des jeunes. L’hebdomadaire Les Copains a été une expérience intéressante, une initiation à la presse écrite, une passerelle idéale vers le quotidien. »

Michel Jabbour, chef de projet à Desjardins, Montréal

« Lecteur assidu des Copains, j'aimerais dire un gros merci à toutes les personnes qui faisaient en sorte que chaque samedi matin, ce supplément de L'Orient-Le-Jour soit une délicieuse “boîte à surprises”.

Les Copains était littéraire, pédagogique et extrêmement divertissant. Un concentré d'actualités, de nouvelles, de jeux et d'histoires drôles parfaitement ficelés et présentés à sa clientèle cible. Cette publication a accompagné mon enfance et a grandement contribué à renforcer ma francophonie et mon amour de la lecture. Merci encore pour toutes ces années. »

Édouard Bitar, un des membres fondateurs de livelovelebanon« Tous les samedis, je demandais à papa, qui n’achetait pas régulièrement le quotidien, de l’acheter pour lire Les Copains. D’ailleurs, au lycée, les profs de français nous demandaient aussi de le lire. Mes souvenirs remontent à 1993-1994. J’étais alors membre du Club des Copains et je participais aux activités...

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