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Ribal Molaeb

Ce qu’en disent les proches

Jamil Molaeb - Son père  

Ribal mon fils, ou mon enfant, ou mon collègue.

Il n’était pas un enfant quand il était enfant et il n’est pas devenu un homme sans enfance. Il a vécu entre le jardin, la maison et l’école, un arbre riche d’ombre. Et une fleur pour chaque saison. Inquiétude, quête et labeur.

Des soucis qu’adoucissait le travail artistique et musical jusqu’à l’obtention de son diplôme supérieur.

Ribal, un enfant artiste dans un homme et un homme- artiste dans un enfant.

Wafa Molaeb - Sa mère 

Depuis son enfance, Ribal était très inquiet, passionné et ambitieux. Pour être quelqu’un de différent. Il voit grand, ses rêves sont ceux d’un aigle avec de grandes ailes pour atteindre tout l’univers. Mais d’un autre côté, Ribal est très modeste et a un cœur tendre. Il s’inquiète pour les gens qui l’entourent et essaye d’améliorer la société. Pour un meilleur environnement, une meilleure place pour vivre. C’est pour cela qu’il a fondé le Festival Molaeb pour la musique de chambre et les beaux-arts, dans son village de Bayssour, une tradition désormais annuelle, comme ce qui se fait en Europe. Son labeur, son endurance, sa persévérance, son cœur à la tâche sont aujourd’hui récompensés…

Tanja Sonc - Sa petite amie, violoniste 

On ne peut s’arrêter de découvrir Ribal. Je n’ai jamais rencontré une personne aussi forte et charismatique que Ribal. Ses idées artistiques et musicales sont toujours uniques, et cela fait que c’est spécial d’être avec lui pour la musique de chambre. Là où il va, il influence les gens et a un grand impact autour de lui.

Adham al-Dimashki - Son ami, poète et acteur 

De son exil européen, l’émir Fakhreddine – La Fierté de la foi – retourna au Mont-Liban avec un bouquet d’idées prospères et civilisatrices.

Ribal, notre fierté musicale, quel bouquet portera-t-il de son propre exil à cette terre natale qui ne cesse d’échanger ses esprits créateurs pour des jongleurs-escrocs ?

Cette alouette venant réveiller son village montagnard, quel printemps portera-t-elle au Festival Molaeb de musique de chambre ?

Le Liban est-il condamné à fleurir partout sauf sur sa propre terre ?

Une première création théâtrale dont je fus l’auteur m’avait réuni avec mon ami Ribal en 2012 ; dès lors, nous ne cessons de voler des moments de fleurs à chaque fois que Ribal trouve un moment de retour !

Hans P. Ochsenhofer - Son ami, musicien 

Quand Ribal Molaeb joue à l’alto, il dit et exprime beaucoup. J’ai plaisir à l’entendre et l’écouter…

Jamil Molaeb - Son père  Ribal mon fils, ou mon enfant, ou mon collègue.
Il n’était pas un enfant quand il était enfant et il n’est pas devenu un homme sans enfance. Il a vécu entre le jardin, la maison et l’école, un arbre riche d’ombre. Et une fleur pour chaque saison. Inquiétude, quête et labeur.
Des soucis qu’adoucissait le travail artistique et musical...

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