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Raphaëlle Macaron

Ce qu’en disent les proches

Hoda Macaron - Sa maman 

Très jeune, Raphaëlle se distinguait par sa détermination et sa persévérance. Son choix de carrière s’est imposé comme une évidence. À l’école, son cahier de texte regorgeait d’illustrations. Demandez à Raphaëlle de décrire un événement, et c’est toute une bande dessinée qui défile sous vos yeux en gestes et en paroles. Son sens de l’humour aiguisé lui permet de briser toutes les barrières et de nouer avec une facilité déconcertante des liens aimables avec son entourage. Sa vie gravite autour de causes inébranlables, l’égalité des droits de l’homme, la protection des plus démunis, et son attachement au Liban, toujours présent dans ses œuvres, reste son leitmotiv et sa principale source d’inspiration.

Gabrielle Macaron - Sa sœur  

Raph, ma (grande) petite sœur, brille de mille feux par sa rigueur et sa passion. Depuis toute petite, elle manipule les crayons de couleur, les pinceaux, les pots de colle, la pâte à modeler, prête à me couvrir de taches d’acrylique ou de gouache au passage. Enracinée comme un cèdre dans ses valeurs, inébranlable sur ses principes, tenace dans ses choix, elle est pour moi un symbole de femme résiliente. Elle vit en BD, voit des cases de BD partout et parle en bulles. Ses yeux s’écarquillent comme ceux de Bill quand une idée germe dans son cerveau plein d’étoiles. Bref, elle est super ma sœur.

Maya Eid - Sa tante maternelle  

Raphaëlle, fara pour les intimes, petite souris au grand cœur, espiègle et malicieuse, s’investit avec dynamisme et professionnalisme dans tout ce qu’elle entreprend. À l’âge où les petites filles jouent à la poupée, Raphaëlle dessinait, assidue, patiente et concentrée. Au cours des ateliers de modelage ou de peinture, des séances de dessin que j’organisais, elle s’appliquait remarquablement. À l’adolescence, elle maîtrisait déjà toutes les techniques, et son coup de crayon suivait sa petite tête remplie de scénarios.

Joseph Kaï - Son ami 

Mon amitié avec Raphaëlle s’est forgée au moment de notre passage à la vie adulte, au moment où notre envie de dessiner pour vivre atteignait son paroxysme. Nous nous y sommes pris à deux pour faire notre coming out de dessinateurs. Pour avoir suivi Raphaëlle de près, depuis les années des beaux-arts, j’ai le souvenir de ses yeux qui brillaient d’enchantement dès qu’elle nous présentait un projet en gestation. Cette étincelle que je retrouve dans son trait, lent, mais aussi très brillant à chaque fois qu’il passe d’un plein à un délié, est l’essence de son travail.

Vincent Longhi - Son petit ami 

En 2012, je rencontre le Liban, la bande dessinée libanaise… et Raphaëlle. Tirés au sort à l’Alba par Michèle Standjofski pour former un duo pendant deux semaines, j’ai découvert Beyrouth à ses côtés en l’écoutant me raconter passionnément des histoires arrivées à des proches, ou à des personnalités publiques. J’étais loin de me douter que j’en entendrais tellement d’autres pendant les six années qui ont suivi, et force est de constater que je ne me lasserai probablement jamais. Quand elle prend la parole, elle ouvre grands les yeux, hausse le ton et nous entraîne dans son récit. Elle pioche dans la vigueur de la musique qu’elle se met dans les oreilles pour raconter des histoires, dans un rapport à la narration méticuleux et structuré.


Hoda Macaron
- Sa maman Très jeune, Raphaëlle se distinguait par sa détermination et sa persévérance. Son choix de carrière s’est imposé comme une évidence. À l’école, son cahier de texte regorgeait d’illustrations. Demandez à Raphaëlle de décrire un événement, et c’est toute une bande dessinée qui défile sous vos yeux en gestes et en paroles. Son sens de...

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Mille Mabrouk Raphaelle.

Georges Zehil Daniele

19 h 56, le 15 juin 2018

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Commentaires (1)

  • Mille Mabrouk Raphaelle.

    Georges Zehil Daniele

    19 h 56, le 15 juin 2018

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