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Roy Dib

Ce qu’en disent les proches

Nada Dagher Dib - Sa mère

Roy a toujours été parmi les premiers de sa classe, même à l'université. C'est un garçon aimable et sociable, à l'aise avec tout le monde. Son éducation, son environnement et sa passion pour la musique ont beaucoup influencé sa vision et sa créativité théâtrale. Attiré par l'art et le théâtre depuis son enfance, il n'en a pas moins suivi une scolarité classique irréprochable de bout en bout. La projection de son court-métrage Mondial 2010 l'a fait connaître du public. Et sa toute dernière pièce, Close to here, interprétée par Julia Kassar, a rencontré un grand succès.

Carmen Dib Issa - Sa sœur

Roy Dib, mon frère aîné, a une personnalité totalement à l'opposé de la mienne, ce qui a toujours attisé ma curiosité et m'a poussée à rechercher son influence. Il est incroyablement indépendant, sûr de lui-même, épanoui, ambitieux et rien ne lui fait peur. Confiant et courageux au point d'abandonner toute sa vie au Liban-Nord et de déménager à Beyrouth pour poursuivre sa passion et ses études en théâtre. Enfant, il aimait beaucoup exprimer ses idées par le dessin, et je n'oublierai jamais le jour où il a couvert presque la moitié du mur avec un grand papier blanc pour dessiner la Sainte Vierge portant l'enfant Jésus dans ses bras. Pour moi, mon frère est un mélange de calme et de folie, de passion, de liberté, de créativité, d'affection et de sens des responsabilités...

Raafat Majzoub - Son ami réalisateur

Son installation vidéo, Objects in mirror are closer than they appear, décrit l'ensemble de son œuvre à ce jour : Roy présente des miroirs cyniquement prophétiques qui nous invitent à reconsidérer nos positions. C'est crucial dans le Liban d'aujourd'hui. Toujours équipé d'une Lokki et doté d'un appétit de café insatiable, Roy fend la vie avec le sérieux d'un expert-comptable et le charisme d'un chat de gouttière. Il est du signe du Lion, ceci expliquant cela. Je vais profiter de L'Orient-Le Jour pour lui envoyer un message privé : « Roy, je vais t'accrocher ce néon, achète la perceuse. »

Rana Eid - Son amie sound designer

J'ai rencontré Roy Dib avant le tournage de son long-métrage The Beach House. Nous nous sommes rencontrés pour parler du scénario et préparer le sound design en amont. Le sujet du film m'a tout de suite intéressée, mais ce qui m'a le plus marquée, c'est Roy lui-même. C'est un homme hyperpassionné par son travail. Il parcourra un très beau chemin parce qu'il sait jongler entre les concepts et l'émotion. On peut faire des films très profonds tout en s'amusant comme rarement. C'est ce que fait Roy.

Akram Zaatari - Son ami artiste

Un lieu familier est un lieu que l'on comprend, mais que l'on ne reconnaît pas avec précision. Il est réconfortant de faire l'expérience du familier dans des lieux auxquels on se sent connecté et où l'on peut commander des touches de comportement ou de langage, juste ce qu'il faut pour ne pas se sentir étranger. Un lieu étranger est ce lieu auquel on est exposé, mais dans lequel on ne peut naviguer. Éprouver une telle aliénation dans des endroits qui sont indifférents à la personne que vous êtes est extrêmement libérateur. Le lieu étranger ne vous reconnaît pas. Le lieu familier sollicite votre engagement. Il y a un lieu entre les deux vers lequel je voudrais migrer. Il se situe dans les films de Roy Dib.

Nada Dagher Dib - Sa mère
Roy a toujours été parmi les premiers de sa classe, même à l'université. C'est un garçon aimable et sociable, à l'aise avec tout le monde. Son éducation, son environnement et sa passion pour la musique ont beaucoup influencé sa vision et sa créativité théâtrale. Attiré par l'art et le théâtre depuis son enfance, il n'en a pas moins suivi une scolarité...

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