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Karen Klink

Ce qu’en dit la famille

Achtard Klink, sa maman
Enfant, Karen nous accompagnait partout. Dans les musées, les expositions ou les sites archéologiques. Je gardais toujours dans mon sac de quoi dessiner. Karen, qui s'ennuyait vite, croquait tout ce qui l'interpellait. À 4 ans, après le spectacle de La Belle au bois dormant à l'Opéra Bastille, elle reproduit sur son bout de papier les danseurs avec les beaux costumes, les robes dentelées, les coiffures et surtout le mouvement des mains jusqu'à la pointe des pieds. Avec elle, la maison était un vrai labo. Ses poupées Barbie se transformaient, elle modifiait leur allure, les relookait. À l'école, son pupitre était gravé de mille dessins. Karen est sensible, perfectionniste, sérieuse, sincère et très curieuse. Je l'appelle « My Busy Bee ».


Chadi Aoun, son ami d'enfance
Karen n'est pas simple à cerner. Elle évolue dans un monde propre à elle et le résultat est un univers visuel fou et merveilleux. Karen est courageuse. Quand elle part à l'aventure, elle ne tarde pas à trouver sa place sur la scène artistique espagnole. Après le papier, la porcelaine, les maisons d'édition, les expositions, les tableaux et la mode, c'est naturellement que son art se transpose sur la peau. Du papier à la peau, son art demeure vivant, authentique. Il nous interpelle par une effervescence intérieure, toujours en mouvement, une créativité sans tabou ni limite. Comme beaucoup, « I have been Klinked »...


Dominique Chouchani, sa meilleure amie
Depuis notre rencontre il y a dix ans, j'ai découvert une fille dynamique, pleine d'enthousiasme, et qui entretient avec la vie un rapport très authentique. Elle est déterminée, mais elle dégage une certaine douceur et poursuit ses rêves d'enfant qu'elle mène à bon port. L'univers artistique dans lequel elle baigne est unique. Toujours très fraîche et souriante, elle nous transporte dans son véritable monde imaginaire, propre à elle. Belle, jeune et talentueuse, Karen s'exprime à travers ses dessins dans un monde onirique de créatures qui coexistent harmonieusement en perpétuelle mutation.

Joëlle Achkar, son amie d'université
Karen et moi nous sommes connues à l'ALBA, en section illustration. Je me souviens de ce beau visage rond à la peau lisse et cristalline comme une poupée de cire, mais aussi de cette lourde masse de cheveux noirs, de ce regard intense et de ce long corps aux os saillants. Je la vois en chamane, munie de ses aiguilles, lacérer les peaux de ses encres indélébiles de totems uniques, dans une sorte de rituel mystique. Les créatures qu'elle dessine prennent la couleur de ses tripes biophiles, et elles grognent, piquent et ondulent. Sensuelles, elles s'entrelacent, fleurissent et se multiplient. Mi-figue mi-raisin, mi-anges mi-démons, créatures entre ciel et terre, ciel et mers, douces et piquantes à la fois : ses bébés.

Lara Wehbé, son amie
Je connais Karen depuis 25 ans. Je suis fascinée à quel point elle est devenue femme et créatrice, sans perdre ni son innocence ni son côté enfantin. Son rire est absolument contagieux, et elle n'a jamais dévié de son objectif, de sa passion, de sa sensibilité et de son art. Cet art dans lequel elle a su, mieux que quiconque, plonger sa personnalité captivante.

 

Achtard Klink, sa mamanEnfant, Karen nous accompagnait partout. Dans les musées, les expositions ou les sites archéologiques. Je gardais toujours dans mon sac de quoi dessiner. Karen, qui s'ennuyait vite, croquait tout ce qui l'interpellait. À 4 ans, après le spectacle de La Belle au bois dormant à l'Opéra Bastille, elle reproduit sur son bout de papier les danseurs avec les beaux costumes,...

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