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Salim Azzam

Ce qu’en dit la famille

Najwa Azzam, sa mère

Souvent je regarde le ciel, les arbres verdoyants et l'éclat de la nature, et je me dis que nous sommes entourés de beauté. Et j'éprouve la même satisfaction lorsque je pose les yeux sur mon fils, Salim, qui associe avec maîtrise la beauté et l'intelligence dans les projets que lui souffle son âme et qu'il porte dans son cœur. Je suis enchantée de la direction professionnelle et artistique qu'il a choisie, de son énergie et de ses idées créatives. Son objectif prend de jour en jour plus d'ampleur. Je l'ai accompagné dans chacune de ses créations en me remémorant, avec lui, nos us et coutumes. Cet ensemble de traditions auxquelles il rajoute son esprit contemporain. Il est toujours souriant, aimant avec tout le monde, toujours prêt à venir en aide à ceux qui sont dans le besoin et à braquer les projecteurs sur les gens que la vie n'a pas épargnés. Je suis fière de toi, mon fils.

Kamal Mouzawak, son ami

Salim Azzam a l'honnêteté et la candeur d'un enfant qui raconte une histoire, en images et en mots, pour perpétuer un Liban qui disparaît... Une approche tellement innovante parce que simple et directe. Salim ne dessine pas. Il utilise des traits et des mots pour perpétuer une histoire, une identité et des traditions que nous avons perdues ou oubliées. Il nous rappelle surtout que ce sont les choses simples de la vie qui font la vie.

Larry Bou Safi, son consultant en style et ami

J'ai rencontré Salim il y a moins d'un an, au lancement de sa toute première collection à la boutique Starch à Saïfi. Armé de son accent du Chouf, d'une innocence qui frôlerait la naïveté dans certains contextes, d'une candeur inégalable et d'une éloquence impressionnante, il allait vers tout le monde et essayait de causer avec tout le monde, sans scrupule ou arrière-pensée. Je n'ai pu échapper au charme de ce petit garçon qui me rappelait en quelque sorte mes débuts dans le cercle artistique de Beyrouth, tant par sa passion du travail que par cette confiance donnée au gens. Deux collaborations et une amitié assez forte plus tard, je suis toujours ébloui par son professionnalisme, son travail méticuleux, mais par-dessus tout son authenticité, si rare de nos jours. Un futur brillant l'attend et je serai là pour l'applaudir.

Hrag Oskaridjian et Vladimir Kurumilian

Salim est timide, mais il a une présence immense. Il est modeste, mais armé d'un talent sans limites. Au cours de nos premières conversations, il nous a épatés par son éloquence en racontant ses histoires, inspirées de la nature, de sa culture et de son environnement. Quelques mois ont suffi pour qu'un lien puissant se crée entre nous et pour qu'un espace commun devienne notre maison « Qamar ». Son style de vie est devenu une partie du nôtre. Et le nôtre une partie du sien.
Le désir ardent de Salim d'apprendre de nouvelles choses fait que notre relation est non seulement basée sur une amitié étroite, mais qu'elle s'enrichit aussi de défis intellectuels constants. Son sourire, sincère, dégage tout l'amour que cette belle âme a à donner. Son sourire va lui faire gagner le monde.

 

Najwa Azzam, sa mèreSouvent je regarde le ciel, les arbres verdoyants et l'éclat de la nature, et je me dis que nous sommes entourés de beauté. Et j'éprouve la même satisfaction lorsque je pose les yeux sur mon fils, Salim, qui associe avec maîtrise la beauté et l'intelligence dans les projets que lui souffle son âme et qu'il porte dans son cœur. Je suis enchantée de la direction...

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