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Blu Fiefer

Ce qu’en dit la famille

Emilio Maroun, son père

Je me souviens quand elle avait 8 ans, nous étions à un karaoké, elle voulait chanter et a montré beaucoup d'assurance malgré la foule qu'elle voyait devant elle, elle voulait en faire son métier. À l'âge de 15 ans, elle voulait aller à New York y étudier la musique, moi, je trouvais la destination trop éloignée ; elle décide donc d'aller à Londres, quitte l'école et se débrouille seule pour organiser son séjour là-bas. Son parcours a été difficile, mais nous l'avons toujours soutenue, car elle nous rendait très fiers. Aujourd'hui, Blu a réussi à se faire un nom, avec un vrai potentiel international, et nous sommes sûrs qu'elle percera très bientôt.

Samer Maroun Matta, son grand frère

Ma petite sœur est autant un amour qu'une dure à cuire. J'ai grandi en l'écoutant chanter depuis ses plus jeunes années, donc dès qu'elle chante, je me sens à la maison. Je pense que c'est son meilleur moyen d'expression et sa manière de trouver du réconfort, car comme notre enfance a été faite de déménagements, la musique nous aidait à déconnecter et nous inspirait. On ne souligne pas assez son courage, quitter l'école aussi jeune, aller à Londres, c'est courageux. Mais après tout, elle est mexicaine. Je suis très fier de son parcours et de sa capacité à toucher le cœur des gens.

Liliane Chlela, son amie, musicienne

J'associe Blu avec le futur, aussi bien en termes de vision, de potentiel, d'investissement que de plans à suivre. Elle a une stratégie média bien plus large que juste son personnage de Blu, et pour la suivre, il ne faut pas poser de questions, il faut croire en elle et la soutenir. Elle est un vrai leader d'opinion, ne fait aucun compromis, même en étant très dure avec elle-même, c'est son seul salut pour être ce qu'elle est : une performer hors norme, et une musicienne hyperenthousiaste. Blu sait désormais où elle veut aller, ce qu'elle veut faire, et elle le saura toujours, quels que soient les chemins qu'elle empruntera.

Rabee Younès, son ami, photographe

Ma rencontre avec Blu Fiefer ressemble à une scène de film. Alors que j'arrivai en boîte de nuit, je la trouvai attablée près de la piste de danse. Je l'ai regardée, elle m'a vu, et sans prononcer un seul mot, nous allâmes danser. Nous échangeâmes nos numéros et devinrent amis, toujours sans échanger un seul mot.
Je prends beaucoup de plaisir à la photographier, de manière très naturelle, et à chaque fois de manière impromptue ; dès qu'elle rentre dans mon studio, sa présence et son charisme sont tels que je ne peux m'empêcher de la shooter.

Jana Saleh, son amie, productrice

En tant que productrice, il n'est pas rare que j'apprenne des artistes avec lesquels je travaille. Blu a été pour moi une révélation. Elle rassemble toutes les qualités d'une artiste accomplie alors qu'elle est encore au début de sa carrière. Elle ressent la musique très profondément, elle est très contemporaine dans son approche, elle écoute les conseils et s'en nourrit et elle montre une discipline que seuls les vrais artistes motivés s'appliquent. Mon travail avec Blu m'a renforcée dans mes certitudes, m'a inspirée et m'a encouragée à continuer la production musicale.

Emilio Maroun, son père
Je me souviens quand elle avait 8 ans, nous étions à un karaoké, elle voulait chanter et a montré beaucoup d'assurance malgré la foule qu'elle voyait devant elle, elle voulait en faire son métier. À l'âge de 15 ans, elle voulait aller à New York y étudier la musique, moi, je trouvais la destination trop éloignée ; elle décide donc d'aller à Londres, quitte...

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