« Les Libanais veulent un État efficace », a souligné l’ambassadeur de France, Patrice Paoli, lors de la session d’inauguration des Rencontres des cadres dirigeants de la fonction publique.
La quatrième édition des Rencontres des cadres dirigeants de la fonction publique a été inaugurée hier à l’Institut des finances. Ce séminaire de deux jours est placé cette année sous le thème « Les enjeux de la réforme des finances publiques ».
Le lancement de cet événement, organisé en partenariat avec l’École nationale française d’administration (ENA) et l’Institut de France au Liban, a notamment vu la présence de l’ambassadeur de France, Patrice Paoli, l’ancien ministre des Finances, de l’Économie et du Commerce, Damien Kattar, et la directrice de l’Institut des finances, Lamia Moubayed-Bsat.
Ces Rencontres sont destinées à accompagner les cadres supérieurs de la fonction publique sur la voie de la performance. L’édition 2013 sera animée par le contrôleur budgétaire et comptable ministériel français, Frank Mordacq, l’un des membres du panel des experts en finances publiques du Fonds monétaire international (FMI), Gérard Chambras, le président de la société AIDIMPACT, Patrice Dufour, et le professeur d’économie à l’université de Reims-Champagne-Ardenne, Jean Cartier-Bresson.
À noter qu’une nouveauté fera son apparition cette année : « Les Rencontres 2013 seront aussi marquées par une tradition nouvelle, l’organisation de visites de terrain régulières auprès d’institutions libanaises (...) dont notamment le ministère des Finances, la Banque du Liban (BDL), le port de Beyrouth, le Centre national de la recherche scientifique, la Régie libanaise des tabacs et tombacs, l’Institut de recherche agronomique », a indiqué Mme Moubayed-Bsat.
Pour sa part, l’ambassadeur de France s’est félicité de la tenue de cet événement et de son utilité significative. « Les Libanais veulent un État efficace », a-t-il souligné. La formation d’« un gouvernement fort » constituerait un début de solution, a renchéri M. Kattar. « Les employés du secteur public ne ressentent plus le besoin de réfléchir ou de planifier (...), ils n’estiment pas voir des résultats concrets », a-t-il déploré.
Quoi qu’il en soit, « ce sont les cadres de la fonction publique qui seront appelés à piloter le changement », a relevé Mme Moubayed-Bsat.
Et de mettre l’accent sur le succès de ces Rencontres, rappelant qu’en trois ans, « plus d’une centaine de dossiers de candidature ont été déposés ; 60 cadres supérieurs, issus de 37 administrations et institutions publiques, ont choisi de participer à ce cycle, dont 40 % de femmes et 60 % d’hommes ».
Le lancement de cet événement, organisé en partenariat avec l’École nationale française d’administration (ENA) et l’Institut de France au Liban, a notamment vu la présence de l’ambassadeur de France, Patrice Paoli, l’ancien ministre des Finances, de l’Économie et du Commerce, Damien Kattar, et la directrice de l’Institut des finances, Lamia Moubayed-Bsat.
Ces Rencontres sont destinées à accompagner les cadres supérieurs de la fonction publique sur la voie de la performance. L’édition 2013 sera animée par le contrôleur budgétaire et comptable ministériel français, Frank Mordacq, l’un des membres du panel des experts en finances publiques du Fonds monétaire international (FMI), Gérard Chambras, le président de la société AIDIMPACT, Patrice Dufour, et le professeur d’économie à l’université de Reims-Champagne-Ardenne, Jean Cartier-Bresson.
À noter qu’une nouveauté fera son apparition cette année : « Les Rencontres 2013 seront aussi marquées par une tradition nouvelle, l’organisation de visites de terrain régulières auprès d’institutions libanaises (...) dont notamment le ministère des Finances, la Banque du Liban (BDL), le port de Beyrouth, le Centre national de la recherche scientifique, la Régie libanaise des tabacs et tombacs, l’Institut de recherche agronomique », a indiqué Mme Moubayed-Bsat.
Pour sa part, l’ambassadeur de France s’est félicité de la tenue de cet événement et de son utilité significative. « Les Libanais veulent un État efficace », a-t-il souligné. La formation d’« un gouvernement fort » constituerait un début de solution, a renchéri M. Kattar. « Les employés du secteur public ne ressentent plus le besoin de réfléchir ou de planifier (...), ils n’estiment pas voir des résultats concrets », a-t-il déploré.
Quoi qu’il en soit, « ce sont les cadres de la fonction publique qui seront appelés à piloter le changement », a relevé Mme Moubayed-Bsat.
Et de mettre l’accent sur le succès de ces Rencontres, rappelant qu’en trois ans, « plus d’une centaine de dossiers de candidature ont été déposés ; 60 cadres supérieurs, issus de 37 administrations et institutions publiques, ont choisi de participer à ce cycle, dont 40 % de femmes et 60 % d’hommes ».
La quatrième édition des Rencontres des cadres dirigeants de la fonction publique a été inaugurée hier à l’Institut des finances. Ce séminaire de deux jours est placé cette année sous le thème « Les enjeux de la réforme des finances publiques ».Le lancement de cet événement, organisé en partenariat avec l’École nationale française d’administration (ENA) et l’Institut...
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