Mais le président palestinien a pris la défense du plan de paix arabe. « II n’est pas permis, d’aucune manière, de retirer de la table ce plan », a-t-il dit. « Son retrait signifie (aller à) la guerre ». « Sommes-nous prêts à la guerre ? Personnellement, je ne suis pas prêt », a-t-il martelé sur un ton sévère. Il a en outre pressé les Arabes d’honorer leur engagement à venir en aide aux Palestiniens en établissant « un filet de sécurité », à hauteur de 100 millions de dollars par mois, après le récent blocage par Israël du transfert des taxes collectées au profit de l’Autorité palestinienne après l’octroi du statut d’État observateur à l’ONU à la Palestine. « C’est vrai que nous avons obtenu un État, mais sur le terrain il y a un effondrement de l’Autorité », incapable de payer les salaires des fonctionnaires, a-t-il dit.
Moyen Orient et Monde
Le Qatar veut revoir le plan de paix arabe
OLJ / le 10 décembre 2012 à 00h04
Mais le président palestinien a pris la défense du plan de paix arabe. « II n’est pas permis, d’aucune manière, de retirer de la table ce plan », a-t-il dit. « Son retrait signifie (aller à) la guerre ». « Sommes-nous prêts à la guerre ? Personnellement, je ne suis pas prêt », a-t-il martelé sur un ton sévère. Il a en outre pressé les Arabes d’honorer leur engagement à venir en aide aux Palestiniens en établissant « un filet de sécurité », à hauteur de 100 millions de dollars par mois, après le récent blocage par Israël du transfert des taxes collectées au profit de l’Autorité palestinienne après l’octroi du statut d’État observateur à l’ONU à la Palestine. « C’est vrai que nous avons obtenu un État, mais sur le terrain il y a un effondrement de l’Autorité », incapable de payer les salaires des fonctionnaires, a-t-il dit.
commentaires (1)
Ce pays bensaoud continue de parler de parler de parler, alors que ce que veulent les palestiniens c'est des actes , actes , actes, filez leur du fric et des armes, bouffons va !!
Jaber Kamel
11 h 16, le 10 décembre 2012