Il s’agit de la plus ferme condamnation à ce jour par le bureau du Premier ministre. Les dirigeants israéliens, inquiets de l’incertitude qui suivrait une chute du président Assad, n’avaient jusqu’à présent condamné que timidement les violences en Syrie. Le porte-parole des Affaires étrangères a souligné que le changement de ton d’Israël ne visait pas à répondre aux critiques des insurgés syriens dont certains accusent Israël de soutenir le régime du président Assad. « Nous ne réagissons pas par opportunisme. De toute façon, nous sommes considérés comme des Satans par les deux côtés », a ajouté M. Palmor.
Moyen Orient et Monde
Israël sort de sa « réserve médiatique »
OLJ/Agences / le 29 mai 2012 à 00h18
Il s’agit de la plus ferme condamnation à ce jour par le bureau du Premier ministre. Les dirigeants israéliens, inquiets de l’incertitude qui suivrait une chute du président Assad, n’avaient jusqu’à présent condamné que timidement les violences en Syrie. Le porte-parole des Affaires étrangères a souligné que le changement de ton d’Israël ne visait pas à répondre aux critiques des insurgés syriens dont certains accusent Israël de soutenir le régime du président Assad. « Nous ne réagissons pas par opportunisme. De toute façon, nous sommes considérés comme des Satans par les deux côtés », a ajouté M. Palmor.
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