« Tout cela va se calmer dans deux ou trois jours, car ni Israël ni la Syrie ne souhaitent déclencher une guerre », a estimé Eyal Zisser, professeur de l'institut Moshe Dayan auprès de l'université de Tel-Aviv. Selon ce spécialiste de la Syrie, les déclarations d'Ehud Barak « ont été mal formulées et mal interprétées par les Syriens, car elles étaient destinées à un usage interne pour convaincre Benjamin Netanyahu d'engager des négociations avec la Syrie ». Toujours d'après le site Internet du Haaretz, cette analyse a été corroborée par une source au sein du ministère israélien de la Défense. Cette source a insisté sur le fait que les propos de M. Barak étaient bien destinés aux oreilles israéliennes pour convaincre de la nécessité de négociations avec Damas, et qu'à nul moment il n'était question d'attaquer la Syrie. Cette même source a assuré qu'Israël fait tout ce qui est en son pouvoir pour que les malentendus de ces derniers jours ne dégénèrent pas en crise diplomatique entre Tel-Aviv et Damas.
Moyen Orient et Monde - Proche-Orient
Les USA exhortent Israël et la Syrie à calmer le jeu
OLJ / le 06 février 2010 à 23h20
« Tout cela va se calmer dans deux ou trois jours, car ni Israël ni la Syrie ne souhaitent déclencher une guerre », a estimé Eyal Zisser, professeur de l'institut Moshe Dayan auprès de l'université de Tel-Aviv. Selon ce spécialiste de la Syrie, les déclarations d'Ehud Barak « ont été mal formulées et mal interprétées par les Syriens, car elles étaient destinées à un usage interne pour convaincre Benjamin Netanyahu d'engager des négociations avec la Syrie ». Toujours d'après le site Internet du Haaretz, cette analyse a été corroborée par une source au sein du ministère israélien de la Défense. Cette source a insisté sur le fait que les propos de M. Barak étaient bien destinés aux oreilles israéliennes pour convaincre de la nécessité de négociations avec Damas, et qu'à nul moment il n'était question d'attaquer la Syrie. Cette même source a assuré qu'Israël fait tout ce qui est en son pouvoir pour que les malentendus de ces derniers jours ne dégénèrent pas en crise diplomatique entre Tel-Aviv et Damas.
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