Pour la première fois au Liban, un musée consacré aux minéraux va ouvrir ses portes à Beyrouth. Après plusieurs années d’attente, le vieux projet de Salim Eddé verra le jour aujourd’hui dans les locaux du campus de l’innovation et du sport de l’Université Saint-Joseph, rue de Damas.
Le musée des minéraux a été créé à l’initiative personnelle de Salim Eddé. Après dix-sept ans de recherches, le collectionneur libanais peut s’enthousiasmer devant des vitrines fournies . « Quand je vois ce que la nature est capable de faire toute seule... », rêve-t-il au milieu des cristaux multicolores, impatient de voir les premiers visiteurs déambuler parmi eux. « Personne au sein de ma famille n’avait d’intérêt pour les minéraux, j’ai commencé tout seul, ajoute-t-il. J’étais fasciné par toutes ces créations de la nature. Et puis, une fois qu’on a commencé, c’est comme la cigarette, difficile d’arrêter ! »
« Toutefois, cela ne sert à rien d’être collectionneur pour seulement mettre des cailloux dans des boîtes », ajoute tout sourire ce chimiste de formation qui, avec ce musée, aimerait redonner le goût d’une discipline peu goûtée du grand public. C’est pour cette raison qu’il a décidé en 2004 de rendre publiques ses collections personnelles.
Le chantier du nouveau campus de l’USJ fut retardé par l’assassinat de Rafic Hariri en 2005, puis par la guerre de 2006. Les travaux pour le musée, quant à eux, commencèrent finalement en 2009. Une surface de 1 300 m2, située au sous-sol d’un bâtiment tout neuf, a été allouée par l’USJ au musée. À l’entrée, un espace interactif permet de voir les minéraux en trois dimensions sur des écrans tactiles. Le musée des minéraux sera tout autant dédié à la passion des minéraux et à la science qu’à l’accueil d’événements privés comme des séminaires d’entreprise.
Mille trois cents pièces : c’est la troisième plus grande collection du monde que dévoileront à partir d’aujourd’hui les vitrines du musée, qui voudrait rivaliser avec les musées de minéralogie de Paris,de Chine, du Congo, de l’Inde, de la Russie et de l’Afrique du Sud...
Les sols du Liban ne possédant pas de minéraux, Salim Eddé a nourri sa collection aux quatre coins de la planète. Et même avec un musée à son nom, il compte bien continuer de courir les pierres précieuses.
Le musée des minéraux a été créé à l’initiative personnelle de Salim Eddé. Après dix-sept ans de recherches, le collectionneur libanais peut s’enthousiasmer devant des vitrines fournies . « Quand je vois ce que la nature est capable de faire toute seule... », rêve-t-il au milieu des cristaux multicolores, impatient de voir les premiers visiteurs déambuler parmi eux. « Personne au sein de ma famille n’avait d’intérêt pour les minéraux, j’ai commencé tout seul, ajoute-t-il. J’étais fasciné par toutes ces créations de la nature. Et puis, une fois qu’on a commencé, c’est comme la cigarette, difficile d’arrêter ! »
« Toutefois, cela ne sert à rien d’être collectionneur pour seulement mettre des cailloux dans des boîtes », ajoute tout sourire ce chimiste de formation qui, avec ce musée, aimerait redonner le goût d’une discipline peu goûtée du grand public. C’est pour cette raison qu’il a décidé en 2004 de rendre publiques ses collections personnelles.
Le chantier du nouveau campus de l’USJ fut retardé par l’assassinat de Rafic Hariri en 2005, puis par la guerre de 2006. Les travaux pour le musée, quant à eux, commencèrent finalement en 2009. Une surface de 1 300 m2, située au sous-sol d’un bâtiment tout neuf, a été allouée par l’USJ au musée. À l’entrée, un espace interactif permet de voir les minéraux en trois dimensions sur des écrans tactiles. Le musée des minéraux sera tout autant dédié à la passion des minéraux et à la science qu’à l’accueil d’événements privés comme des séminaires d’entreprise.
Mille trois cents pièces : c’est la troisième plus grande collection du monde que dévoileront à partir d’aujourd’hui les vitrines du musée, qui voudrait rivaliser avec les musées de minéralogie de Paris,de Chine, du Congo, de l’Inde, de la Russie et de l’Afrique du Sud...
Les sols du Liban ne possédant pas de minéraux, Salim Eddé a nourri sa collection aux quatre coins de la planète. Et même avec un musée à son nom, il compte bien continuer de courir les pierres précieuses.
Pour la première fois au Liban, un musée consacré aux minéraux va ouvrir ses portes à Beyrouth. Après plusieurs années d’attente, le vieux projet de Salim Eddé verra le jour aujourd’hui dans les locaux du campus de l’innovation et du sport de l’Université Saint-Joseph, rue de Damas.Le musée des minéraux a été créé à l’initiative personnelle de Salim Eddé. Après...
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