Une délégation du 14 Mars a entamé une tournée auprès des ambassades des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG).
Composée des députés Marwan Hamadé, Jamal Jarrah, Élie Marouni, Joseph Maalouf et de Pierre Abou Assi, responsable des relations extérieures au sein des Forces libanaises, la délégation s’est rendue auprès de l’ambassadeur d’Arabie saoudite, Ali Awad Assiri, puis auprès de son homologue du Koweït, Abdel Aal Kinaï, au moment où le député Nehmé Tohmé publiait un communiqué dans lequel il mettait l’accent sur la solidité des rapports libano-saoudiens.
Au cours des deux entretiens, la délégation a condamné fermement « le fait que des forces politiques libanaises ne reconnaissent pas les efforts déployés pendant des années par les pays du Golfe en faveur du Liban ». Ils ont jugé nécessaire devant les deux diplomates que leurs gouvernements respectifs « ne fassent pas assumer aux résidents libanais sur leurs territoires la responsabilité des comportements et des positions irresponsables du Hezbollah et du chef du bloc du Changement et de la Réforme, le général Michel Aoun, à savoir la participation (pour le Hezbollah) aux combats en Syrie et les attaques (verbales) contre les États qui ont soutenu le Liban durant sa crise et contribué à reconstruire le pays, notamment après la guerre de 2006, sans distinctions communautaires ou confessionnelles ».
La délégation a abordé avec les deux diplomates le problème des réfugiés syriens au Liban, en soulignant « l’incapacité du pays à assumer le poids de leur exode massif » et a discuté avec eux des « conséquences négatives, sur le double plan politique et économique, de l’intervention militaire du Hezbollah dans la guerre en Syrie », ainsi que de la récente visite du secrétaire général du CCG au président Michel Sleiman.
Leur tournée auprès des chancelleries arabes intervient d’ailleurs au lendemain de cette tournée. Le secrétaire général du CCG avait été reçu mardi à Baabda et a communiqué au chef de l’État un message en forme de mise en garde des six monarchies pétrolières. Celles-ci pressent le Liban de s’en tenir à sa politique de distanciation vis-à-vis de la guerre en Syrie et le mettent en garde contre certaines prises de position à l’égard de la situation dans ce pays.
Composée des députés Marwan Hamadé, Jamal Jarrah, Élie Marouni, Joseph Maalouf et de Pierre Abou Assi, responsable des relations extérieures au sein des Forces libanaises, la délégation s’est rendue auprès de l’ambassadeur d’Arabie saoudite, Ali Awad Assiri, puis auprès de son homologue du Koweït, Abdel Aal Kinaï, au moment où le député Nehmé Tohmé publiait un communiqué dans lequel il mettait l’accent sur la solidité des rapports libano-saoudiens.
Au cours des deux entretiens, la délégation a condamné fermement « le fait que des forces politiques libanaises ne reconnaissent pas les efforts déployés pendant des années par les pays du Golfe en faveur du Liban ». Ils ont jugé nécessaire devant les deux diplomates que leurs gouvernements respectifs « ne fassent pas assumer aux résidents libanais sur leurs territoires la responsabilité des comportements et des positions irresponsables du Hezbollah et du chef du bloc du Changement et de la Réforme, le général Michel Aoun, à savoir la participation (pour le Hezbollah) aux combats en Syrie et les attaques (verbales) contre les États qui ont soutenu le Liban durant sa crise et contribué à reconstruire le pays, notamment après la guerre de 2006, sans distinctions communautaires ou confessionnelles ».
La délégation a abordé avec les deux diplomates le problème des réfugiés syriens au Liban, en soulignant « l’incapacité du pays à assumer le poids de leur exode massif » et a discuté avec eux des « conséquences négatives, sur le double plan politique et économique, de l’intervention militaire du Hezbollah dans la guerre en Syrie », ainsi que de la récente visite du secrétaire général du CCG au président Michel Sleiman.
Leur tournée auprès des chancelleries arabes intervient d’ailleurs au lendemain de cette tournée. Le secrétaire général du CCG avait été reçu mardi à Baabda et a communiqué au chef de l’État un message en forme de mise en garde des six monarchies pétrolières. Celles-ci pressent le Liban de s’en tenir à sa politique de distanciation vis-à-vis de la guerre en Syrie et le mettent en garde contre certaines prises de position à l’égard de la situation dans ce pays.
Une délégation du 14 Mars a entamé une tournée auprès des ambassades des pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG). Composée des députés Marwan Hamadé, Jamal Jarrah, Élie Marouni, Joseph Maalouf et de Pierre Abou Assi, responsable des relations extérieures au sein des Forces libanaises, la délégation s’est rendue auprès de l’ambassadeur d’Arabie saoudite, Ali Awad Assiri,...
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