« J’ai discuté de la question avec les frères (en Syrie), avec Hassan Nasrallah (le secrétaire général du Hezbollah) et avec les frères en Iran, et en cas d’attaque étrangère, nous ferons partie de cette bataille », a indiqué M. Jibril.
Il s’exprimait sur la nouvelle télévision satellitaire installée à Beyrouth, al-Mayadeen, dirigée par Ghassan Ben Jeddo, ex-star de la chaîne al-Jazira, connu pour ses positions pro-Hezbollah et prosyriennes.
M. Jibril, qui a dit avoir rencontré récemment le secrétaire général du Hezbollah et le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, a indiqué que Nasrallah l’avait informé « personnellement » qu’il prendrait part à cette bataille.
Il a précisé avoir été informé par les autorités iraniennes qu’elles ne lâcheraient pas le régime de Bachar el-Assad et qu’elles avaient « mis en garde la Turquie à plusieurs reprises de ne pas jouer avec le feu ». Selon Téhéran, « une intervention (militaire) est une ligne rouge à ne pas franchir », a ajouté M. Jibril. Il a assuré que l’Iran, le Hezbollah et son groupe faisaient partie d’ « un même axe ».
Le FPLP-CG est une organisation radicale soutenue par la Syrie et qui refuse toute solution négociée avec Israël. Il possède deux bases militaires dans l’est du Liban et toutes les tentatives de le désarmer ont échoué.
commentaires (2)
Ou, la Voix de son Maître ! Ceci prouve bien que la ligne que suivera ce hézébb-là dépend de considérations étrangères ! Et fera ce que les mollahs iraniens lui diront de faire, ya hassértééhh !
Antoine-Serge KARAMAOUN
11 h 43, le 04 juillet 2012