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Liban

Kadri interpelle le gouvernement sur son silence après les agressions devant l’ambassade syrienne

Député du courant du Futur, Ziyad Kadri a interpelé le gouvernement par le truchement de Nabih Berry après qu’il eut « totalement et honteusement ignoré » les agressions commises par des membres de certains partis politiques devant l’ambassade syrienne à Beyrouth contre « des citoyens libanais qui exprimaient pacifiquement et démocratiquement leur solidarité avec le peuple de Syrie ».
Dénonçant « rien moins que quatre incidents sécuritaires » au Liban durant le mois de juillet, du rapt des sept Estoniens jusqu’aux empiètements sur les biens publics et privés, notamment contre les biens de l’Église maronite à Lassa, en passant par l’attaque contre le contingent français de la Finul et l’explosion « mystérieuse » à Roueiss dans la banlieue sud, le député Kadri a relevé que le gouvernement Mikati a appréhendé tous ces événements « de la même manière : par un silence officiel absolu. Personne n’a expliqué aux citoyens ce qui s’est passé et comment le cabinet entendait réagir », a-t-il déploré.
« Ceci est le résultat obligatoire du renoncement par le gouvernement dans sa déclaration ministérielle aux principes de souveraineté, à son abdication devant les armes et au fait qu’il ait transformé la République en otage du mini-État », a poursuivi Ziyad Kadri.
Et de conclure : « Pourquoi le gouvernement ou les services concernés n’ont-ils pas précisé quelles sont les parties qui ont agressé les citoyens devant l’ambassade de Syrie dans la soirée de mardi ? »
Député du courant du Futur, Ziyad Kadri a interpelé le gouvernement par le truchement de Nabih Berry après qu’il eut « totalement et honteusement ignoré » les agressions commises par des membres de certains partis politiques devant l’ambassade syrienne à Beyrouth contre « des citoyens libanais qui exprimaient pacifiquement et démocratiquement leur solidarité avec le peuple de...

commentaires (1)

Peut etre faudrait il rappeler ce que veut dire " souverainete d'un Etat". Souveraineté: pouvoir suprême reconnu à l'État de faire ses lois et de les mettre en pratique. La souveraineté d'un État implique l'exclusivité de ses compétences législatives, exécutives et judiciaires.

michele bibi

00 h 16, le 12 août 2011

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Commentaires (1)

  • Peut etre faudrait il rappeler ce que veut dire " souverainete d'un Etat". Souveraineté: pouvoir suprême reconnu à l'État de faire ses lois et de les mettre en pratique. La souveraineté d'un État implique l'exclusivité de ses compétences législatives, exécutives et judiciaires.

    michele bibi

    00 h 16, le 12 août 2011

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