Creusées du temps des Romains, les galeries où les tonneaux sont entreposés ont été découvertes par hasard par les pères jésuites en 1898.
Ouvertes au public tout au long de l'année, les caves de Ksara offrent une alternative sympathique à une journée libre. Les amateurs de vin ont ainsi la chance de découvrir les galeries souterraines et les secrets de fabrication des différents crus. C'est également une occasion de plonger dans le patrimoine culturel du pays. Selon la légende, la culture du vin remonterait à Noé qui aurait planté la première vigne sur le mont Sannine au Liban, bien avant que les Phéniciens ne répandent le vin dans l'ensemble de la région.
En moins d'une heure, le programme de la visite offre un panorama complet du domaine viticole. Après le visionnage d'un documentaire retraçant les grandes dates de l'histoire du vignoble, le visiteur pénètre dans les caves souterraines qui constituent l'attraction principale du lieu. Creusées du temps des Romains, les galeries ont été découvertes par hasard par les pères jésuites en 1898. Agrandies quelques années plus tard, les caves constituent un cellier naturel long de deux kilomètres. C'est ici que reposent les différents vins avant la mise en bouteille. Mais certains endroits demeurent interdits aux visiteurs. « Ici, nous conservons des bouteilles de 1930, 1935 et 1960, explique une jeune guide, désignant un embranchement fermé à clé. Mais elles ne sont pas à vendre. »
Le domaine constitue aujourd'hui une halte incontournable. Le nombre des visiteurs est passé de 50 000 en 2009 à 70 000 en 2010. La visite gratuite est une occasion privilégiée d'initier ou de parfaire son nez aux différents nectars.
« Le vin fait de plus en plus partie de la culture libanaise, surtout chez la nouvelle génération », constate Rania Chammas, en charge des relations publiques du domaine.
L'apparition d'une trentaine de nouveaux producteurs témoigne du dynamisme du secteur.
En moins d'une heure, le programme de la visite offre un panorama complet du domaine viticole. Après le visionnage d'un documentaire retraçant les grandes dates de l'histoire du vignoble, le visiteur pénètre dans les caves souterraines qui constituent l'attraction principale du lieu. Creusées du temps des Romains, les galeries ont été découvertes par hasard par les pères jésuites en 1898. Agrandies quelques années plus tard, les caves constituent un cellier naturel long de deux kilomètres. C'est ici que reposent les différents vins avant la mise en bouteille. Mais certains endroits demeurent interdits aux visiteurs. « Ici, nous conservons des bouteilles de 1930, 1935 et 1960, explique une jeune guide, désignant un embranchement fermé à clé. Mais elles ne sont pas à vendre. »
Le domaine constitue aujourd'hui une halte incontournable. Le nombre des visiteurs est passé de 50 000 en 2009 à 70 000 en 2010. La visite gratuite est une occasion privilégiée d'initier ou de parfaire son nez aux différents nectars.
« Le vin fait de plus en plus partie de la culture libanaise, surtout chez la nouvelle génération », constate Rania Chammas, en charge des relations publiques du domaine.
L'apparition d'une trentaine de nouveaux producteurs témoigne du dynamisme du secteur.
Ouvertes au public tout au long de l'année, les caves de Ksara offrent une alternative sympathique à une journée libre. Les amateurs de vin ont ainsi la chance de découvrir les galeries souterraines et les secrets de fabrication des différents crus. C'est également une occasion de plonger dans le patrimoine culturel du pays. Selon la légende, la culture du vin remonterait à Noé qui...
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