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Liban

Ligne bleue : Ashkenazi s’attend à des « tensions » en septembre

Le chef d'état-major israélien Gabi Ashkenazi s'attend à « des tensions » le long de la ligne bleue après la publication de l'acte d'accusation du Tribunal spécial pour le Liban dans l'affaire Hariri. Il a relevé que « malgré le calme actuellement à la frontière nord d'Israël, il y a des problèmes entre le Hezbollah et la Finul ».
Il a également affirmé que « des efforts » doivent être fournis « pour qu'il n'y ait plus de flottilles » qui appareillent vers Gaza. « Une flottille libanaise formée de femmes et de députés est en train d'être mise sur pied. Israël et l'armée israélienne s'emploient à empêcher son départ », publiquement et en coulisses, a-t-il indiqué, insistant sur le fait que le gouvernement libanais « a été mis en garde : nous le tiendrons responsable de cette flottille si elle prend la mer à partir de Chypre », a menacé Gabi Ashkenazi, qui s'exprimait devant la commission des Affaires étrangères et de la Sécurité à la Knesset. Il a fait part de trois scenarii possibles : « Un : il n'y a que des activistes pacifistes sur la flottille, nous pourrons facilement les maîtriser et les emmener au port d'Ashdod. Deux : ces activistes utilisent la violence et s'opposent à nos soldats. Trois : il y a à bord des navires des terroristes et des jihadistes. »
Le chef d'état-major israélien Gabi Ashkenazi s'attend à « des tensions » le long de la ligne bleue après la publication de l'acte d'accusation du Tribunal spécial pour le Liban dans l'affaire Hariri. Il a relevé que « malgré le calme actuellement à la frontière nord d'Israël, il y a des...

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