« À mon retour en Espagne, j'avais tout intérêt à ne pas décevoir les premières sources de financement qui avaient eu confiance dans la Fondation et j'ai décidé d'accepter ce premier projet. La Fondation était alors petite, très petite et venait de prendre en charge, à ce moment-là, l'exécution d'un des plus grands projets de coopération au développement. Depuis lors, grâce à l´appui ininterrompu de l´Agence espagnole de coopération internationale pour le développement, la Fondation a travaillé en totale harmonie avec ses premiers partenaires : la Fondation René Moawad, Arcenciel et l'Association d'aide au développement rural », a-t-elle raconté à la Première dame libanaise.
« Mais ce qui a réellement fini par me convaincre de travailler dans cette partie du monde a été une rencontre avec le Saint-Père Jean-Paul II. Le pape m'avait encouragée à travailler au Liban parce qu'il considérait que c'est une enclave stratégique entre l'Orient et l'Occident, et que depuis le Liban on pouvait mieux comprendre le monde, mieux aider l'ensemble de la société à construire un meilleur futur. »
« Je pense que nous avons réussi à faire travailler ensemble les deux bords de la Méditerranée et je peux affirmer actuellement que tant l'affection que la connaissance que je porte au Liban sont profondes », a conclu Pilar Lara à l'adresse de Wafa' Sleiman.
commentaires (0)
Commenter