« Ces pressions, poursuit le quotidien, qui bénéficient d'un soutien américain, d'une compréhension européenne et d'une complicité arabe implicite sont vouées à l'échec, notamment au lendemain de la position héroïque des habitants du Liban-Sud, qui ont fait face aux tentatives visant à imposer de nouvelles règles d'engagement, d'où une révision des calculs faits par les États européens », indique Techrine.
Et de poursuivre :
« La fréquence des menaces israéliennes contre le Liban a baissé, dans la forme en tous les cas, et ce après que les responsables israéliens eurent réalisé leur impact négatif sur les colons, notamment au lendemain du discours du chef de la Résistance », le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, constate le quotidien, qui indique que, lors de son intervention, le numéro un du parti chiite a mis les points sur les i et dressé les enjeux de la nouvelle équation, à savoir Tel-Aviv contre la banlieue sud. « C'est ce qui a amené le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à placer les déclarations qu'il avait faites dans le cadre d'une tempête médiatique, œuvrant ainsi à rassurer les Israéliens en affirmant que la paix et la stabilité règnent à la frontière avec le Liban », ajoute le quotidien.
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