Rechercher
Rechercher

Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

H&M, les vraies, à Paris !

Hoda Baroudi et Maria Hibri se sont envolées pour Paris emportant dans leur bokja ces pneus, ces fameux pneus qui ont fait la « une » de notre journal, qui ont été exposés un moment à l’aéroport Rafic Hariri de Beyrouth, et qui ont provoqué un buzz de folie sur les réseaux sociaux aux quatre coins du Web et de la planète. Attention, il ne s’agit pas de pneus à brûler sur les chaussées de la capitale française mais de l’installation qui trônera au cœur de la collection permanente du musée de l’Institut du monde arabe, du 11 octobre au 13 janvier 2013.
Les deux designers, toujours extra entre Niki de Saint Phalle et Andrée Putmann, relookées Sex And The City, ont mis dans leurs malles un ensemble de pièces uniques inspirées des changements sociopolitiques provoqués par les printemps arabes : des poupées de chiffon et des tapis de tissus précieux où elles ont brodé avec passion les espoirs et les désillusions des révolutions du Proche-Orient.
Arab Springs ou Arab Fall, dans leurs œuvres, c’est toujours un hommage rendu aux hommes et aux femmes qui ont risqué leur vie pour que (re)vive le changement, pour dénoncer les inégalités ou pour améliorer l’ordre social. Tout le monde à l’IMA !

Autant en emporte la pluie

Pas question que la pluie gâche la fête, la musique et la nuit sans lesquelles Beyrouth ne serait pas la capitale du Proche-Orient ! Même s’il y a eu un moment d’affolement au dîner offert par Tarek et Zina Dajjani au Caprice à Jal el-Dib, en bord de la mer ! Il faut dire que les dames étaient paniquées à la perspective d’un immonde débrushing ou de robes Hervé Léger froissées... Lama Mroueh, vêtue d’un overall strapless vert, est tombée du haut de ses talons-aiguilles pour atterrir dans les bras d’un jeune homme. En allant saluer des amis, Nada Koussa Itani s’est pris le pied dans on ne sait pas trop quoi et a évité la catastrophe de près. Mais le nuage gris s’en est vite allé, et les deux cents convives ont pu s’attabler outdoor pour déguster nems, crevettes, sushi, et autres délicieusetés asiatiques, avant qu’une énorme pièce montée de cupcakes rose et marron ne fut coupée pour célébrer les fiançailles de l’Irakien Jalal Yaweri avec Lana Bdeir, entourée pour l’occasion de ses trois sœurs Zina, Aya et Rania. Ces deux dernières vivant chacune dans un pays, ce happening a pris les belles allures d’une fête de retrouvailles avec champagne et shots à gogo pour tout le monde.Et du monde, il y en avait : Malik et Carma Barakat, Francois et Joëlle De Maricourt, Fouad et Nayla Takieddine, Chaker Saab, Émile Khoury, Tarek Nahas, Mazen et Mirna Fakhouri, Samir et Manal Hakim, Ahmad et Lara Salman, Hicham et Yara Husni Bey, Karim et Nathalie Chebaklo, Paul et Rola Mansour, Karim et Sara Diab, Fayez et Asma Rasamni, Bachir et Mariana Bassatni, Walid et Mayssa Rayess, Dana Dajjani, John et Samia Bakhos, Karim et Nada Makarem ont mis le feu à la piste de danse si bien que même les vagues ont swingué autour des rochers.

Ma douce, mon loukoum...

L’engouement pour l’Empire ottoman s’est emparé de Nicolas et Hala Mezaros qui ont réuni tous les ingrédients pour une soirée grand spectacle dans leur villa à Rabieh. Sur le thème Harim al-Sultan, le tout dernier feuilleton turc qui cartonne auprès des téléspectateurs de tout le monde arabe, le jardin, illuminé de lanternes, magnifiquement décoré de tapis et de canapés en kilims, s’est transformé en un monde clos où musiciens, chanteurs et danseuses habillés alla turqua et autres eunuques (pas des vrais, tout de même...) torse nu accueillaient les 120 invités, dont Lara Hammoud, Bassam Daher, Randa Ghandour, Nazih et Rolla Najm, Sabine Ali Hassan, Anne-Marie Romanos, Tarek et Hania Houssami, Bassel Bazzi, Ibrahim Arab, Joe Jazzar, Basel Soueid et Fadi Khoury.
Les dames somptueusement vêtues du costume ottoman, richement parées de bijoux et coiffées en diadèmes ou en cascades, se déclinaient toutes en sultanes. Disons-le bet et clair : c’est le fantasme de toutes les femmes, ou presque ! Quant aux hommes, enveloppés dans leur luxueux kaftan, ils étaient aussi bien kapy-agha, khass-odabachy, grand vizir, sultan ou mamamouchi ; quelques-uns arboraient même le couvre-chef emblématique de l’ex-empire, le fameux tarbouche. Dans tous les cas, tous attendaient patiemment le dîner pour retrouver ces dames confinées dans leur prison dorée et gardées étroitement à vue par leurs eunuques-éphèbes. Il fallait bien jouer le jeu jusqu’au bout ! Mais quand elles sont apparues embaumant le jus de grenade et les loukoums, c’était le paradis sur terre, à en croire un des invités qui avait déjà forcé sur l’arak-raki...

Une gueule de bois... Vert !

Créés par les hommes, les déserts peuvent aussi être défaits par les hommes. Au Nord ou au Sud du Liban, partout où ils sont passés, Raoul Nehme et Jouzour Loubnane l’ont prouvé. Leur vaste campagne de reboisement continue, soutenue par les fans du vert. Ils étaient d’ailleurs plus de cinq cents au dîner de levée de fonds organisé au Pier 7 et où les ambassadeurs d’Espagne et de France, Milagros Hernando et Patrice Paoli, le général Hughes Delors-Laval (Finul) et le père Sélim Daccache (USJ) étaient les invités d’honneur. Présents également, Étienne et Corinne Debanné, Nabil et Maya de Freige, Chadi et Zeina Karam, Michel et Dolly Ferneiné, Joe et Myriam Asseily, Eddy et Liliane Moutran, Danièle et Sélim Saad, Tony et Claude Amatoury, Fadi Baladi, Joe et Nadine Khawam, Fouad et Zeina Khoury, Youssef et Hala Abillama, Georges et Maya Doumet. La soirée a été ponctuée par la traditionnelle tombola (bijoux offerts par Salamoun, Marcha et Tufenkjian, et un voyage par Kurban). Tout le monde n’a pas gagné mais on s’en moque : tout le monde était so happy !
H&M, les vraies, à Paris ! Hoda Baroudi et Maria Hibri se sont envolées pour Paris emportant dans leur bokja ces pneus, ces fameux pneus qui ont fait la « une » de notre journal, qui ont été exposés un moment à l’aéroport Rafic Hariri de Beyrouth, et qui ont provoqué un buzz de folie sur les réseaux sociaux aux quatre coins du Web et de la planète. Attention, il ne s’agit...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut