Le secrétaire général de l'ONU a affirmé lundi qu'un éventuel recours à des armes chimiques par la Syrie serait "répréhensible", en réaction à la menace de Damas d'utiliser ce type d'armes en cas d'intervention militaire extérieure sur son territoire.
"Il serait répréhensible de voir quiconque en Syrie envisager l'utilisation d'armes de destruction massive comme des armes chimiques", a dit M. Ban à la presse, lors d'une visite à Belgrade.
"J'espère sincèrement que la communauté internationale gardera un oeil là-dessus pour que rien de tel ne se produise", a-t-il ajouté.
Tout en affirmant ne pas être en mesure de "vérifier" si la Syrie disposait de ce type d'armes, M. Ban s'est déclaré "préoccupé" par le fait que Damas n'était pas "partie (signataire) de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques".
"Tous les pays ont l'obligation de ne pas utiliser des armes de destruction massive, qu'ils soient ou non parties d'une convention ou d'un accord", a-t-il souligné.
M. Ban a précisé que l'ONU menait des consultations "étroites avec les parties concernées, en premier lieu, la Ligue arabe".
"Je vais discuter ce sujet avec (Nabil) al-Arabi, le secrétaire général de la Ligue arabe (...)", a-t-il poursuivi.
M. Ban a précisé que le chef du département des opérations de maintien de la paix, le diplomate français Hervé Ladsous et le général Babacar Gaye, principal conseiller militaire de l'ONU, allaient "partir pour la Syrie aujourd'hui" pour rendre compte de la situation.
Il a ajouté que lorsque l'actuel chef de la Misnus (Mission de supervision de l'ONU en Syrie), Robert Mood, "quittera son poste, le général Gaye sera en charge de la mission pour les 30 jours à venir, tel que mandaté par le Conseil de sécurité".
Le régime syrien a reconnu lundi pour la première fois posséder des armes chimiques et menacé de les utiliser en cas d'intervention militaire occidentale mais jamais contre sa population, suscitant une réaction cinglante des Etats-Unis.
"Il serait répréhensible de voir quiconque en Syrie envisager l'utilisation d'armes de destruction massive comme des armes chimiques", a dit M. Ban à la presse, lors d'une visite à Belgrade.
"J'espère sincèrement que la communauté internationale gardera un oeil là-dessus pour que rien de tel ne se produise", a-t-il ajouté.
Tout en affirmant ne pas être en mesure de "vérifier" si la Syrie disposait de ce type d'armes, M. Ban s'est déclaré "préoccupé" par le fait que Damas n'était pas "partie (signataire) de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques".
"Tous les pays ont l'obligation de ne pas utiliser des armes de destruction massive, qu'ils soient ou non parties d'une convention ou d'un accord", a-t-il souligné.
M. Ban a précisé que l'ONU menait des consultations "étroites avec les parties concernées, en premier lieu, la Ligue arabe".
"Je vais discuter ce sujet avec (Nabil) al-Arabi, le secrétaire général de la Ligue arabe (...)", a-t-il poursuivi.
M. Ban a précisé que le chef du département des opérations de maintien de la paix, le diplomate français Hervé Ladsous et le général Babacar Gaye, principal conseiller militaire de l'ONU, allaient "partir pour la Syrie aujourd'hui" pour rendre compte de la situation.
Il a ajouté que lorsque l'actuel chef de la Misnus (Mission de supervision de l'ONU en Syrie), Robert Mood, "quittera son poste, le général Gaye sera en charge de la mission pour les 30 jours à venir, tel que mandaté par le Conseil de sécurité".
Le régime syrien a reconnu lundi pour la première fois posséder des armes chimiques et menacé de les utiliser en cas d'intervention militaire occidentale mais jamais contre sa population, suscitant une réaction cinglante des Etats-Unis.
Le secrétaire général de l'ONU a affirmé lundi qu'un éventuel recours à des armes chimiques par la Syrie serait "répréhensible", en réaction à la menace de Damas d'utiliser ce type d'armes en cas d'intervention militaire extérieure sur son territoire."Il serait répréhensible de voir quiconque en Syrie envisager l'utilisation d'armes de destruction massive comme des armes chimiques",...
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