Des coups de feu ont été entendus lundi dans le camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk, au sud de Damas, lors des funérailles de neuf jeunes tués la veille par des tirs israéliens alors qu'ils tentaient de franchir la ligne de cessez-le feu dans le Golan occupé.
"Nous étions au cimetière lorsque des coups de feu ont éclaté", a dit à l'AFP un témoin sans pouvoir préciser leur origine.
Il a indiqué que la foule a crié des slogans hostiles à la Syrie et aux chefs des organisations palestiniennes basées à Damas.
Ils s'en sont pris notamment au chef du Front populaire de libération de la Palestine-Commandement général (FPLP-CG), Ahmad Jibril, ainsi qu'à Maher Taher, représentant du FPLP à Damas.
De son côté, un responsable palestinien qui a requis l'anonymat a affirmé que "des individus venus de l'extérieur du camp s'en sont pris à des personnalités palestiniennes". Ils ont tenté d'endommager des voitures appartenant à des formations palestiniennes, a-t-il ajouté sans plus de précisions.
L'armée israélienne a tiré dimanche sur de jeunes réfugiés palestiniens et des Syriens qui tentaient de franchir la ligne de cessez-le-feu dans le Golan pour marquer l'anniversaire de la "Naksa", la défaite arabe lors de la guerre des Six Jours de juin 1967.
Selon Damas, 23 manifestants sont morts et 350 blessés par les tirs israéliens, un bilan contesté par l'armée israélienne pour qui dix personnes sont mortes du fait de l'explosion de mines syriennes.
Israël, qui veut déposer une plainte à l'ONU contre la Syrie, soupçonne le régime de Damas de vouloir faire diversion à la répression meurtrière exercée contre les opposants dans le pays.
Israël a conquis en juin 1967 le Sinaï égyptien, restitué en 1982, le Golan syrien et les territoires palestiniens: la Cisjordanie, Jérusalem-Est et la bande de Gaza.
"Nous étions au cimetière lorsque des coups de feu ont éclaté", a dit à l'AFP un témoin sans pouvoir préciser leur origine.
Il a indiqué que la foule a crié des slogans hostiles à la Syrie et aux chefs des organisations palestiniennes basées à Damas.
Ils s'en sont pris notamment au chef du Front populaire de libération de la Palestine-Commandement général (FPLP-CG), Ahmad Jibril, ainsi qu'à Maher Taher, représentant du FPLP à Damas.
De son côté, un responsable palestinien qui a requis l'anonymat a affirmé que "des individus venus de l'extérieur du camp s'en sont pris à des personnalités palestiniennes". Ils ont tenté d'endommager des voitures appartenant à des formations palestiniennes, a-t-il ajouté sans plus de précisions.
L'armée israélienne a tiré dimanche sur de jeunes réfugiés palestiniens et des Syriens qui tentaient de franchir la ligne de cessez-le-feu dans le Golan pour marquer l'anniversaire de la "Naksa", la défaite arabe lors de la guerre des Six Jours de juin 1967.
Selon Damas, 23 manifestants sont morts et 350 blessés par les tirs israéliens, un bilan contesté par l'armée israélienne pour qui dix personnes sont mortes du fait de l'explosion de mines syriennes.
Israël, qui veut déposer une plainte à l'ONU contre la Syrie, soupçonne le régime de Damas de vouloir faire diversion à la répression meurtrière exercée contre les opposants dans le pays.
Israël a conquis en juin 1967 le Sinaï égyptien, restitué en 1982, le Golan syrien et les territoires palestiniens: la Cisjordanie, Jérusalem-Est et la bande de Gaza.
Des coups de feu ont été entendus lundi dans le camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk, au sud de Damas, lors des funérailles de neuf jeunes tués la veille par des tirs israéliens alors qu'ils tentaient de franchir la ligne de cessez-le feu dans le Golan occupé."Nous étions au cimetière lorsque des coups de feu ont éclaté", a dit à l'AFP un témoin sans pouvoir préciser leur...
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