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Culture

Trois questions à Sami Kanaan, vice-maire de Genève, chargé de la culture

Q - Que représente cette exposition pour Genève ?
R - Cette exposition illustre bien la Genève multiculturelle, ouverte, internationale qui rayonne et collabore autour de projets culturels, humanitaires, économiques, avec le monde entier. C’est assurément une chance pour Genève que de pouvoir accueillir ces collections qui témoignent de la richesse patrimoniale, culturelle et historique du Liban. C’est aussi grâce à une collaboration exemplaire du Musée national de Beyrouth et du Musée d’art et d’histoire de Genève que celle-ci a été rendue possible.

 

Q - Et pour vous-même qui êtes d’origine libanaise ?
R - C’est d’abord une joie toute simple pour moi que de pouvoir redécouvrir, au travers de son patrimoine, l’histoire de mon pays d’origine. C’est aussi une fierté que de pouvoir accueillir cette exposition dans ma ville d’adoption, au moment où j’y dirige les affaires culturelles et sportives.

 

Q - Avec divers autres projets, la coopération genevoise est très présente au Liban ; cela va-t-il continuer ?
R - Je l’espère. Le Liban et la Suisse ont beaucoup de points communs, à commencer par la nécessaire diversité qui les compose. Je suis attaché à la coopération, au dialogue, à l’échange, qui sont pour moi les seules manières d’avancer par-delà nos différences, d’abattre les frontières qui nous empêchent de progresser et d’aller vers l’autre.

Q - Que représente cette exposition pour Genève ?R - Cette exposition illustre bien la Genève multiculturelle, ouverte, internationale qui rayonne et collabore autour de projets culturels, humanitaires, économiques, avec le monde entier. C’est assurément une chance pour Genève que de pouvoir accueillir ces collections qui témoignent de la richesse patrimoniale, culturelle et historique...

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