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Culture - Programme de demain, mercredi

Place à deux concertos pour piano et orchestre

Le maestro Peter Feranec.

Le piano et encore le piano, donnant fastueusement la réplique à un orchestre pour demain, mercredi, au Festival al-Bustan, à travers deux brillants concertos de Brahms et de Prokofiev.
Au-devant de la scène Denis Kozhukhin, un éblouissant pianiste russe, détenteur en 2010 du prestigieux Prix du concours reine Elizabeth à Bruxelles.
Pour ce subtil dialogue entre clavier et orchestre, l'Orchestre symphonique de l'Opéra de Tbilissi sous la férule de Peter Feranec.
Tout d'abord un petit mot sur le pianiste Denis Kozhukhin, qui donne sa première prestation au festival à Beit-Méry.
Né en 1986 à Nigni Novgorod, l'artiste a abordé ses gammes dès l'âge de quatre ans et, à quatorze ans, il était déjà diplômé pour suivre par la suite des «master class» avec, entre autres, Dimitri Bashkirov, Kiril Gerstein, Zakhar Bron et Pierre Laurent Aimard... Plus de huit prix couronnent sa jeune carrière et ses prestations ont été aussi bien applaudies aux Carnegie Hall, Alice Tully Hall (New York), Walt Disney Hall (Los Angeles) qu'au théâtre Châtelet à Paris.
Maestro Peter Feranec est né en 1964 à Bratislava et est diplômé du Conservatoire de Saint-Pétersbourg. À ses multiples apparitions et prestations avec plusieurs orchestres et philharmoniques internationaux (Orchestre du Capitole de Toulouse, Zurich Opera House, le Philharmonique d'Oslo, l'Orchestre symphonique de Moscou, les Orchestres symphoniques de Lisbonne et de Tokyo), Peter Feranec est un mordu de bel canto et c'est à ce titre qu'il a aussi dirigé la création d'œuvres lyriques telles Lucia di Lammermoor, La Bohème, La Traviata, Aida et Macbeth.
Les festivaliers d'al-Bustan sont invités ici à écouter une ouverture tragique de Brahms ainsi que son Concerto n°2 en si bémol majeur op 83 pour piano et orchestre, et le Concerto n°2 en mi mineur op 16, toujours pour piano et orchestre, de Sergueï Prokofiev.
Deux concertos pour piano et orchestre, l'un à la suite de l'autre (de cette teneur et densité), un moment de défi certes (surtout pour le pianiste), mais aussi un souverain moment de bonheur pour l'auditoire.
Le piano et encore le piano, donnant fastueusement la réplique à un orchestre pour demain, mercredi, au Festival al-Bustan, à travers deux brillants concertos de Brahms et de Prokofiev.Au-devant de la scène Denis Kozhukhin, un éblouissant pianiste russe, détenteur en 2010 du prestigieux Prix du concours reine Elizabeth à Bruxelles.Pour ce subtil dialogue entre clavier et orchestre,...

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