Les géants pétroliers russe Rosneft et américain ExxonMobil, liés par un partenariat stratégique, comptent participer ensemble aux appels d’offres pour l’exploitation des hydrocarbures au large du Liban, a indiqué hier le patron du groupe russe.
« Nous souhaitons avec Exxon participer ensemble à l’appel d’offres pour le plateau continental libanais, nous avons conclu un accord pour travailler ensemble », a déclaré Igor Setchine, cité par les agences russes.
Après de premières opérations de prospection, le Liban s’est dit en septembre dernier prêt à lancer les forages et doit désormais attribuer des licences d’exploitation des gisements, qui présentent un important potentiel en termes de gaz naturel.
La frontière maritime entre le pays et Israël fait cependant l’objet d’une dispute entre les deux États, qui sont toujours techniquement en guerre.
Rosneft, premier groupe énergétique coté dans le monde par le niveau de sa production, et ExxonMobil, numéro un mondial par ses résultats financiers et sa valeur boursière, sont liés depuis 2011 par une alliance stratégique.
Ils ont renforcé en février ce partenariat qui donne notamment à ExxonMobil accès à l’Arctique russe, et à Rosneft un accès à certains gisements en Alaska et dans le golfe du Mexique.
Rappelons qu’Israël avait annoncé samedi avoir commencé à acheminer du gaz de son principal gisement sous-marin vers ses côtes, ce qui devrait permettre à l’État hébreu, selon des responsables, de réduire sa dépendance vis-à-vis de l’étranger pour ses importations de gaz. Dans un communiqué, le ministère israélien de l’Énergie et de l’Eau a indiqué que le gaz naturel avait « commencé à être acheminé du gisement de Tamar jusqu’à une nouvelle plateforme de production navale près d’Ashdod, à partir de laquelle il atteindra en 24h la station d’Ashdod », dans le sud d’Israël.
Le gisement de Tamar, qui dispose de réserves évaluées à 238 milliards de mètres cubes, est situé à 130 km au large de la cité portuaire de Haïfa, sur la côte méditerranéenne.
Il fait partie des gisements gaziers très prometteurs découverts ces dernières années au large des côtes d’Israël, mais dont la propriété est contestée par des pays voisins, dont le Liban.
« Nous souhaitons avec Exxon participer ensemble à l’appel d’offres pour le plateau continental libanais, nous avons conclu un accord pour travailler ensemble », a déclaré Igor Setchine, cité par les agences russes.
Après de premières opérations de prospection, le Liban s’est dit en septembre dernier prêt à lancer les forages et doit désormais attribuer des licences d’exploitation des gisements, qui présentent un important potentiel en termes de gaz naturel.
La frontière maritime entre le pays et Israël fait cependant l’objet d’une dispute entre les deux États, qui sont toujours techniquement en guerre.
Rosneft, premier groupe énergétique coté dans le monde par le niveau de sa production, et ExxonMobil, numéro un mondial par ses résultats financiers et sa valeur boursière, sont liés depuis 2011 par une alliance stratégique.
Ils ont renforcé en février ce partenariat qui donne notamment à ExxonMobil accès à l’Arctique russe, et à Rosneft un accès à certains gisements en Alaska et dans le golfe du Mexique.
Rappelons qu’Israël avait annoncé samedi avoir commencé à acheminer du gaz de son principal gisement sous-marin vers ses côtes, ce qui devrait permettre à l’État hébreu, selon des responsables, de réduire sa dépendance vis-à-vis de l’étranger pour ses importations de gaz. Dans un communiqué, le ministère israélien de l’Énergie et de l’Eau a indiqué que le gaz naturel avait « commencé à être acheminé du gisement de Tamar jusqu’à une nouvelle plateforme de production navale près d’Ashdod, à partir de laquelle il atteindra en 24h la station d’Ashdod », dans le sud d’Israël.
Le gisement de Tamar, qui dispose de réserves évaluées à 238 milliards de mètres cubes, est situé à 130 km au large de la cité portuaire de Haïfa, sur la côte méditerranéenne.
Il fait partie des gisements gaziers très prometteurs découverts ces dernières années au large des côtes d’Israël, mais dont la propriété est contestée par des pays voisins, dont le Liban.
Les géants pétroliers russe Rosneft et américain ExxonMobil, liés par un partenariat stratégique, comptent participer ensemble aux appels d’offres pour l’exploitation des hydrocarbures au large du Liban, a indiqué hier le patron du groupe russe.« Nous souhaitons avec Exxon participer ensemble à l’appel d’offres pour le plateau continental libanais, nous avons conclu un accord...
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