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Berry : pas d'alternative à la démocratie consensuelle

Le président de la Chambre des députés, Nabih Berry, a estimé jeudi qu'il n'y avait pas d'alternative à la démocratie consensuelle au Liban.

"Le dialogue et l'entente entrent dans l'intérêt du Liban. Il n'y a pas d'alternative à la démocratie consensuelle", a déclaré M. Berry dans un entretien accordé à l'hebdomadaire al-Chiraa qui sera publié vendredi, ajoutant que "la prise de conscience et le dialogue empêchent la discorde".
"Le Futur et le Hezbollah n'essayent pas de faire passer le temps. Ils essayent de réduire les tensions et de se mettre d'accord sur des thèmes nationaux. Il en est de même pour le dialogue national", a-t-il expliqué.

Affirmant que l'élection d'un président de la République constitue "une priorité", M Berry a déclaré qu'une nouvelle loi électorale pour les législatives doit être élaborée. "Les élections doivent alors lieu et un gouvernement d'unité nationale doit être formé", a-t-il dit.
"La loi de 1960 provoquerait une Nakba (catastrophe) politique au Liban", a-t-il lancé. "Nul ne veut un retour à l'atmosphère de la guerre civile. Les Libanais ont appris qu'aucune partie ne peut supprimer l'autre", a souligné M. Berry, déplorant que le "Liban se transforme en camps de réfugiés".

Le président de la Chambre des députés, Nabih Berry, a estimé jeudi qu'il n'y avait pas d'alternative à la démocratie consensuelle au Liban.
"Le dialogue et l'entente entrent dans l'intérêt du Liban. Il n'y a pas d'alternative à la démocratie consensuelle", a déclaré M. Berry dans un entretien accordé à l'hebdomadaire al-Chiraa qui sera publié vendredi, ajoutant que "la prise de...