Adonis et Astarté, le souffleur de verre, l'émir Fakhreddine, Lamartine à la cour de l'émir Béchir, les martyrs libanais, le président Béchara el-Khoury et Riad el-Solh à Rachaya, une cérémonie de mariage animée par Sabah, un villageois buvant à la gargoulette...
Ils sont tous là, bien en cire (comme s'ils étaient faits de chair et de sang), les personnages qui ont fait la petite et la grande histoire du Liban. On peut à présent les voir de très près et même les toucher. Ils sont tous réunis dans un Musée de cire, sis à Byblos (en face de l'église Saint-Jean) et qui ouvrira bientôt ses portes au public.
À l'instar du Musée Grévin et du Musée de Mme Tussaud, le Musée de cire libanais a voulu donner une idée générale de la vie libanaise à travers l'histoire. (...) Il a fallu trois ans de travail acharné pour aménager le musée (...), couler les personnages dans la cire, les maquiller, les habiller, leur bâtir un décor, etc. (...).
Liban - Les archives racontent...
Le Liban figé en cire à la manière de Grévin
Dans « L'Orient » du 21 juin 1970
OLJ / le 21 juin 2016 à 00h00
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