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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

L'escapade cannoise...

Le cinéma libanais se porte très bien, merci ! Trois films ont été sélectionnés dans différentes sections du Festival de Cannes: Tramontane (de Vatché Boulghourjian), Submarine (de Mounia Akl) et Tombé du ciel (de Wissam Charaf). Pour célébrer ce succès, Serge Akl, directeur de l'Office du tourisme du Liban à Paris, Nabil Itani, PDG d'Idal, Maya de Freige, présidente de la Fondation Liban Cinéma, Georges Schoucair, directeur de Abbout Productions, Pierre Sarraf, producteur délégué de la société née à Beyrouth, et la BLC Bank ont organisé une soirée à l'Annexe Plage, au pied du légendaire Carlton, à laquelle près de 450 personnes ont été conviées. Au rendez-vous, un joli foisonnement de talents : les actrices Julia Kassar, Manal Khader, Darina el-Jundi ; les jeunes réalisateurs Ely Dagher, Danilo Caputo, Amine Sidi Boumédiene et Omar Zouhairi. Un bataillon de cinéastes dont Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, Elia Suleiman, Philippe Aractingi (avec Diane), Éliane Raheb, ainsi que les producteurs, Myriam Sassine, Tarek Sikias, Antoine Khalifé, et Chadi Zeineddine. Charbel Habre, qui s'était déplacé de Beyrouth pour l'événement, n'a pas ménagé ses platines pour mixer une soirée d'enfer où se confondaient Orient et Occident. Euphorique, le jeune Barakat Jabbour, acteur principal et non voyant du film Tramontane, a accueilli en chantant son réalisateur Vatché Boulghourjian, porté à bouts de bras par les invités en liesse. Présents également, la créatrice de bijoux Fadia Otte, Lara et Gary Chekerjian, le producteur Felipe Lage et le réalisateur Oliver Laxe (du film Mimosas, lauréat du Grand Prix de la Semaine de la critique), la chaîne de télévision Arte, des responsables de MPM Films, de GBA Production, du Doha Film Institute, pour ne citer que quelques-uns. De nombreux festivals de films étaient également représentés, dont celui de Locarno, de la Mostra de Venise, de la Berlinale, de Dubaï, de Thessalonique, de Karlovy Vary et bien d'autres, qui découvrent l'image d'un Liban qui aime la vie. Qui résiste par sa culture.

Nour succombe au design...

Sur la terrasse du Penthouse du district/S, un bâtiment encore en construction, où le duo Nancy Gabriel et Guillaume Excoffier ont installé leur galerie nomade, Malak et Rami el-Nimr, à la tête de la First National Bank, ont offert un dîner en l'honneur de leur fille Nour. Nour, qui signe une édition limitée de vaisselle de table en porcelaine siglée Nimérologie et exclusivement créée pour Nancy & Guillaume. À cette occasion, le toit-terrasse surplombant le centre-ville avec vue sur la mer a été transformé en un jardin de cactus pour accueillir près de 80 personnes, qui au son du oud ont partagé un repas composé de plats traditionnels palestiniens, préparés par Tawlet. Parmi les présents, Serge Brounst, Nada Boulos, Gaby Daher, Samir Hadchiti, Randa Baladi, Violette Chammas, le cardiologue Walid Alami, Roula Alami, Nancy et Sélim Harfouche, Rana Kobrosli, Joumana et Karam Atallah, Christina et Oussama Salam, Chérine et Rabeh Matar, Laurence et Tarek Nahas, et beaucoup d'autres...

Snapchat remporte la palme

Insta est-il devenu has-been? À Aïn Aar, lors du déjeuner offert par Nabil Nahas (plus de 80 personnes, de différentes générations), les jeunes invités ont multiplié les snapchat, partageant avec leurs amis (non conviés) photos et vidéos de cette ancienne magnanerie magnifiquement réaménagée par l'architecte Makram Kadi. Ils ont exploré les coins et recoins du jardin et de la maison, visité l'atelier du peintre, les chambres d'invité, s'extasiant devant les pièces de Jean Royère, un des grands maîtres du mobilier des années 50. Les « ooooh » admiratifs fusaient de partout, chacun y allant de son commentaire. Nahas, qui a dû répondre à un torrent de questions, ferait mieux la prochaine fois d'organiser une visite à l'aide d'un audioguide. En résumé, on ne savait plus où poser l'œil, si bien que Loubna el-Khalil est tombée dans la piscine et a été hospitalisée.
C'est finalement Nicolas Audi qui a remis bon ordre dans les troupes, en sonnant l'heure du déjeuner où tout le monde (ou presque) a carburé à l'arak en se délectant d'une orgie de mets libanais. Les plats effectivement délicieux ont grisé les papilles de l'architecte français Jean-Pierre Lott, qui, de Paris à Monaco, enchaîne les réalisations, et celles de François Champsaur, architecte d'intérieur et designer français qui a métamorphosé l'hôtel Vernet à Paris et Le Royal à Évian. Parmi les présents, May Arida, Michèle de Freige, Nayla de Freige, Sara Salem, Nagi Asfar, Gaby Bustros, Lina Tannous, Riad Sarkis, Janine Maamari, Danielle de Piciotto, Frida Nahas, Danielle et Farid Chéhab, Youmna et Ricardo Karam, Carole et Georges Schoucair qui rentraient de Cannes, Rami Boutros, René el-Amm, Denise et Jean-Lou Eddé, le grand collectionneur Ramzi Dalloul, Elham et Tony Salamé, Gilles Khoury, Chérine Tayeb (en Vita Kin, l'Ukrainienne très en vogue actuellement), Amira Solh, Manal et Paul Khodr, Lina Mroué, Souheil Hanna, Claude Missir, Robert Fadel, Makram Bitar, Rachad Dernaïka et Raya (en Natasha Zinko, une autre Ukrainienne d'origine)... Ouf, la liste est trop longue. N'oublions pas toutefois Hala et Saleh Barakat. La veille, ce dernier avait étrenné sa superbe galerie (conçue par Makram Kadi) en exposant les dernières œuvres de Nabil Nahas.
P.-S. : ce qui différencie principalement Snapchat des autres réseaux sociaux comme Instagram, c'est la limite de temps que l'on accorde à son média. Le destinataire peut regarder la photo ou la vidéo pendant une durée limitée (dix secondes maximum). Ensuite, les fichiers sont irrémédiablement détruits. Génial pour ne pas encombrer le téléphone de photos.

Woman in architecture

Décidément, 2016 est une année riche pour la Franco-Libanaise Lina Ghotmeh. Lauréate de Ré-Alimenter Massena, un des 23 projets retenus pour la gigantesque opération Réinventer Paris, Lina Ghotmeh et ses partenaires de l'agence DGT sont à nouveau à l'honneur. Leur projet de musée national d'Estonie a été couronné du Grand Prix Afex 2016, de l'architecture française dans le monde. La cérémonie s'est déroulée vendredi dernier au Palazzo Zorzi, à Venise, en présence d'Ana Luisa Thompson-Flores, directrice du bureau de la gestion des ressources humaines, et de François Roux, président de l'Afex. La maquette du musée est exposée au Palasport Arsenale.

Déguster ou se cuiter ?

Pour la seconde solution : on peut se shooter à coups de tequila, ou se préparer à une soirée arrosée de malt pur feu, à l'Eau de Vie de l'hôtel Phoenicia. Lore, le grand whisky écossais d'Islay, sera lancé, après-demain jeudi, au cours d'un dîner gourmet.
Pour déguster, allez faire sauter (voire exploser) les bouchons du rosé le plus célèbre de Provence, « Whispering Angel », et ceux de deux Châteaux bordelais : le Biac de Youmna et Tony Asseily, et Les Trois Croix. Tous conçus par Patrick Léon. Cet ex-directeur technique de Prieuré Lichine, de Mouton Rothschild et de leurs diverses vignobles (Clerc Milon, d'Armailhac, Baron d'Arques, etc.), que les Rothschild et les Mondavi ont mandaté pour créer, pour eux, le « bordelais » californien, l'Opus One, est un des œnologues qui ont donné à la profession ses lettres de noblesse. Il sera en personne aux Caves Taillevent le jeudi 2 juin, de 18h à 21h. Un petit coup... c'est toujours bon !

ditavonbliss@hotmail.com

L'escapade cannoise...
Le cinéma libanais se porte très bien, merci ! Trois films ont été sélectionnés dans différentes sections du Festival de Cannes: Tramontane (de Vatché Boulghourjian), Submarine (de Mounia Akl) et Tombé du ciel (de Wissam Charaf). Pour célébrer ce succès, Serge Akl, directeur de l'Office du tourisme du Liban à Paris, Nabil Itani, PDG d'Idal, Maya de Freige,...

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