Rencontre annuelle des partenaires du Centre d’études universitaires du Liban-Sud

La rencontre annuelle des partenaires du Centre d'études universitaires du Liban-Sud (CEULS) s'est tenue il y a quelques jours au Rest House de Saïda, en présence de Bahia Hariri, députée et présidente de la commission de l'Éducation, Mohammad Saoudi, président de la municipalité de Saïda, cheikh Mohammad Osseiran, mufti chiite de Saïda, Mgr Élie Haddad, évêque grec-catholique de Saïda, P. Nicolas Bassil, représentant Mgr Élias Nassar, évêque maronite de Saïda, ainsi que de Ali Shérif, président de l'Association des commerçants de Saïda, Hussein Nasrallah, directeur du Pnud pour le Sud-Liban, Marcello Mori, chef de section « Développement durable » de la délégation de l'Union européenne au Liban ainsi que de chefs d'établissements scolaires de la région et de directeurs de banques.
Prenant la parole à cette occasion, Dina Sidani, directrice du CEULS, a précisé que la rencontre a pour objectif « d'établir des liens et d'interagir avec les partenaires de la région pour le rayonnement du centre et de valoriser le concept de partenariat, autant en amont qu'en aval, sans oublier les interactions horizontales avec le tissu socio-économique, et ce dans le but de servir le projet commun, au service de l'étudiant ».
À son tour, le recteur de l'USJ, le père Salim Daccache s.j., a salué « un moment de nouvelle découverte de l'amitié, un moment d'écoute et de dialogue ».
Évoquant les obstacles de la langue, du niveau d'études et des frais de scolarité, le recteur a relevé en particulier que le service d'aide financière de l'USJ est « de plus en plus présent et souple ». « Actuellement, a-t-il précisé, l'USJ consacre plus de 18 millions de dollars par an pour aider financièrement plus de 3 000 étudiants. » « C'est dans le but de collecter des fonds pour assurer les bourses d'aide financière qu'un nouveau comité de "fundraising" a été créé », a-t-il dit. « Quant à la formation de nos étudiants et de vos élèves, a-t-il ajouté, je voudrais vous dire que la formation qui se fait dans nos centres, et dans le CEULS d'une manière précise, est la même qui se fait dans les facultés mères à Beyrouth. »