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Quelqu’un m’a dit...

Youmna Gebran Tarazi entourée de Frank Elbaz et du critique et commissaire Arnauld Pierre.

Les feux Tarazi chez Frank Albaz

Après les expositions consacrées aux œuvres de Gebran Tarazi (1944-2010), commissionnées par Saleh Barakat au Koweït, à Dubaï, à Abou Dhabi et au musée de Doha, ainsi qu'une rétrospective à la villa Audi en 2011, c'est la célèbre galerie Frank Elbaz, à Paris, qui a craqué pour les peintures de notre artiste libanais. Au sujet de ses œuvres qui paradent depuis samedi sur les cimaises parisiennes, le critique et professeur en histoire de l'art contemporain à la Sorbonne Arnauld Pierre écrit : « Venu de l'architecture d'intérieur, dont ses cadres moulurés gardent l'empreinte, l'artiste libanais Gebran Tarazi manie avec dextérité les codes du décor arabo-musulman. En investissant le tableau à l'occidentale, ses variations sur l'arabesque géométrique et l'entrelacs polygonal font se rejoindre l'art consommé des artisans du monde arabe, maîtres de l'occupation systématique du plan, et l'art concret tel qu'il s'est développé dans l'après-guerre avec François Morellet, Vera Molnar ou Karl Gerstner (...). » Magnifique. Mona G. Tarazi et sa fille Youmna, présentes au vernissage, étaient émues. Et tout autant heureuses. Car l'œuvre de Gebran ensoleille leur vie. Pour vous en offrir une, il vous reste jusqu'au 5 mars.
Signalons que l'exposition intitulée Folklore Planétaire, ou ce qu'on appelle le langage géométrique instauré par Victor Vasarely, regroupe des pièces de Bolivar (Uruguay), d'Eduardo Terrazas (Mexique), de l'Américain Jim Isermann et de la Syro-Belge Farah Atassi.

Presque la crise de foie chez les Jabado...

On arrête de compter ses calories chez Jamal et Fayez Jabado. Le couple a mis les petits plats dans les grands pour faire découvrir à l'ambassadeur de France, Emmanuel Bonne, les multiples goûts salés et sucrés de Tripoli. Et il a adoré... Ce soir-là, dans une ambiance lumineuse et douce, c'était la fête du palais : le buffet, overloaded de spécialités culinaires de la capitale du Nord, a fait saliver plus de 80 invités. L'ambassadeur Bonne était entouré des députés Mohammad Kabbani (avec Elham) et Riad Rahal (avec Céline), Mona Hraoui, Leila el-Solh, Tania Kassis, Hagop et Annie Kassardjian, très olé olé avec ses bijoux Miriam Haskell acquis chez Simone Kosremelli. Sur les autres plans de table, l'ambassadrice indienne Anita Nayar, l'ambassadeur de Roumanie Victor Mircea et sa femme, ainsi que Katarina, l'épouse de l'ambassadeur de la République tchèque venue en solo. Il faut dire que Svatopluk Cumba dînait ce soir-là avec ses cinq compatriotes tout fraîchement libérés des labyrinthes de l'immense plaine de la Békaa où ils s'étaient égarés au mois de juillet dernier... Heureux comme un pape, loin des tracasseries politiques, l'ancien ministre Jean Oghassabian savourait son dîner avec l'émir Samir et Marlène Abillama, Georges et Christiane Tawil (superglam dans une robe Karoline Lang), Claude et Tony Habib, ainsi que Jeanne Massaad, Rosy et Nagib Boulos, Paola Mokhbat, Viviane et Sami Kyriakos, Regina Fenianos, Denise Revers-Haddad et Farid Haddad, et beaucoup d'autres qui, en partant, ont emporté un carré de chocolat, un petit sac contenant un savon made in Tripoli, ainsi que la promesse faite par l'hôtesse de leur organiser une virée chez les artisans de Khan el-Saboun, au printemps.

Maya en rêvait...

Après ses études à la Central Saint Martins School et à l'École de la Chambre syndicale de la couture parisienne, elle s'est lancée dans l'aventure en 2004, créant sa ligne de sacs de luxe, cousus main par des artisans français et italiens. Conçus avec du cuir exotique, des pierres précieuses et du cristal, ils ont été portés par la reine Rania de Jordanie, les princesses du Golfe et des fashionistas internationales comme Jennifer Lopez, Jessica Alba et Rihanna.
Depuis, Maya Nakhlé Abawat, fille de feu Wajih Nakhlé, un des pères fondateurs de la publicité au Liban, n'a qu'une idée en tête : implanter sa société à Paris et faire partie du club très réservé de la maroquinerie de luxe. Eh bien, c'est chose faite : elle s'installe au Printemps Haussmann entre Prada, Gucci, et Fendi... La brand Maïa N fait son entrée dans la cour des grands...

 

ditavonbliss@hotmail.com

 

Les feux Tarazi chez Frank Albaz
Après les expositions consacrées aux œuvres de Gebran Tarazi (1944-2010), commissionnées par Saleh Barakat au Koweït, à Dubaï, à Abou Dhabi et au musée de Doha, ainsi qu'une rétrospective à la villa Audi en 2011, c'est la célèbre galerie Frank Elbaz, à Paris, qui a craqué pour les peintures de notre artiste libanais. Au sujet de ses œuvres qui...

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