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Culture - Édition

« Pictoram » : une nouvelle parenthèse culturelle...

La famille de « Pictoram » entourant le ministre de la Culture Raymond Araiji.

« Relayer une image positive de la culture au Liban. » C'est ce qu'a souhaité faire Randa Sadaka, rédactrice en chef de Pictoram. Entre le book et le magazine, cette nouvelle revue culturelle artistique annuelle et gratuite est un projet, né en 2014, de la Fondation Robert Alfred Matta (RAM).
Des lieux culturels emblématiques au Liban, des pièces de théâtre, de la musique, le monde de la presse, de nombreux domaines culturels sont discutés dans plus de 200 pages du premier numéro. Le ministre de la Culture, Raymond Araiji, présent lors du lancement de la revue hier, au Musée Sursock, soutient la fondation et son magazine qui mettent en avant de nombreux artistes.
« Pour détourner l'attention des difficultés que connaît le Liban actuellement, nous mettons en avant l'élément humain et la fantastique résistance culturelle du pays », explique Randa Sadaka. Environ 2 000 exemplaires de Pictoram sont distribués chaque fin d'année à l'Institut français, au Salon du livre francophone, au Beirut Art Fair et au Musée Sursock. La revue est également disponible en ligne, dans son intégralité et gratuitement. (www.pictorammag.com)

« Relayer une image positive de la culture au Liban. » C'est ce qu'a souhaité faire Randa Sadaka, rédactrice en chef de Pictoram. Entre le book et le magazine, cette nouvelle revue culturelle artistique annuelle et gratuite est un projet, né en 2014, de la Fondation Robert Alfred Matta (RAM).Des lieux culturels emblématiques au Liban, des pièces de théâtre, de la musique, le monde de...

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