Nous ne reconnaissons plus notre Liban d'antan où nous vivions dans la quiétude et la prospérité, ces mots-clés qui déterminaient nos valeurs intrinsèques et notre raison de vivre en paix. Or, actuellement, il est regrettable de voir certains de nos dirigeants faire preuve d'une indifférence inconcevable en empêchant, dans le contexte actuel, tout dialogue vrai et positif, unique solution pour décanter cette situation tendue dans laquelle notre pays, notre nation toute entière se débat. Face aux risques de dérapage, que pouvons-nous faire, nous libanais, afin d'écarter cette épée de Damoclès suspendue au-dessus de nos têtes ? Nous sommes descendus dans la rue à maintes reprises pour réclamer nos droits les plus élémentaires, manifestations demeurées hélas sans réponse tangible, malgré les promesses de nos responsables. Preuve en est, l'impossibilité d'élire un président à la tête de notre État, facteur entraînant la dégradation de nos institutions face à la corruption qui bat son plein, même dans le dossier des déchets qui finiront par mettre en péril notre santé à l'échelle nationale. Nous avons résisté durant ces dernières décennies à tous les défis sur les plans sécuritaire et socio-économique, mais à présent ce sont nos politiciens qui empêchent notre pays de se relever et se reconstruire en démarrant sur de bonnes bases. Redonnons confiance à notre jeune génération déçue et découragée qui tourne dorénavant le dos à sa patrie, à la recherche, ailleurs, d'un avenir meilleur.
Mais ce n'est pas en vain que nous luttons pour préserver et protéger notre pays afin de l'éloigner des retombées des guerres qui nous entourent. Le temps presse et, face à toutes ces épreuves à surmonter, essayons de dissiper nos malentendus, afin de nous concentrer uniquement à trouver des solutions rapides aux obstacles empêchant la réalisation de nos aspirations les plus simples: à savoir, celles de vivre en paix et dans la dignité, en préservant surtout notre vivre-ensemble, un exemple pour les pays qui nous entourent.
Taline DADOURIAN
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"Notre Liban d'antan à quiétude et prospérité, ces mots-clés qui déterminaient nos valeurs intrinsèques. (quiétude et prospérité = valeurs?). Or il est regrettable de voir certains (uniquement certains?) de nos dirigeants (nos?dirigeants!) faire preuve d'une indifférence en empêchant tout dialogue en vue de décanter (décantons, décantons donc!) cette situation dans laquelle notre nation (quelle nation?) se débat.". (Dilemme ! Que faire ?) "Face aux risques de dérapage donc, nous sommes descendus dans la rue nous Libanais pour réclamer nos droits mais hélas (?!) sans réponse tangible, malgré les promesses de nos responsables (nos? Responsables !). Ce sont nos? politiciens qui empêchent de démarrer sur de bonnes bases (lesquelles?). Redonnons donc confiance à notre jeune génération (de quelles façons?). Le temps presse, concentrons-nous uniquement à préserver surtout notre vivre-ensemble, un exemple (Ça, since 75, un exemple?)." ! Ou, "Liban, Le Pays Des Merveilles !".
ANTOINE-SERGE KARAMAOUN
19 h 05, le 26 novembre 2015