Hommage à Élias Skaff

Mon bon ami
Tu étais mon ami, mon tendre ami ; j'étais ton amie fidèle et éternelle... On s'était lié d'amitié en 1965, on l'est resté jusqu'au jour où tu as fondé ta propre famille pour mieux t'envoler de tes propres ailes, entouré de Myriam ta moitié, Joseph ton aîné et Gebran ton cadet.
Puisses-tu reposer en paix après toutes les inepties, tortures et souffrances, que la vie t'avait réservées et que tu ne méritais vraiment pas, surtout au moment où tu pouvais enfin dire ouf !...
La maladie t'a rattrapé, toi mon ami aux yeux souriants, à la bonté débordante, à l'affection indescriptible, envers ceux de ta région qui te faisaient du bien ou du mal, toi celui que je n'oublierai jamais, toi avec qui j'ai passé une partie de mes plus belles années entre Zahlé, Ammik, Paris ou Beyrouth !...
Tu as assuré en tout, et garde-nous une place à tes côtés pour revivre ces belles années. Au revoir, rien n'est encore fini : tu commences une nouvelle vie mon bon Élie, cheerio !!!

Marylène SBATH GHOSTINE

* * *

Adieu mon « Bey »
Ton absence va peser sans doute sur nos vies...
Ta modestie, ton sourire et surtout ta sagesse politique vont désormais laisser un grand vide. Autour de nous tous.
Zahlé te pleure en premier.
Que ton étoile continue de briller là-haut.
Adieu Élie.
Adieu mon « Bey ».

André KASSOUF