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Liban

Ils ont dit...

- Boutros Harb, ministre des Télécoms, à La Voix du Liban, 100.3 : « Les efforts continuent d'être déployés pour trouver une solution au boycott des séances du Conseil des ministres par les représentants du bloc du Changement et de la Réforme et du Hezbollah. Nous souhaitons que ces efforts aboutissent. Il n'est pas normal que les séances du Conseil des ministres soient soumises au chantage d'une partie politique et à des positions de blocage. L'une des raisons les plus importantes du problème des déchets est le blocage du Conseil des ministres et son incapacité, durant quatre mois, à discuter ou résoudre la question des déchets en raison de la déviation du débat autour du mécanisme de prise de décision. Si le blocage n'est pas résolu, le Conseil se transformera en instance dysfonctionnelle, et il sera naturel, partant, que nous considérions que notre présence n'est pas opportune, et que nous présentions notre démission, parce que nul parmi nous n'est attaché au maintien au gouvernement à l'ombre des circonstances très difficiles que nous traversons. Il faut savoir que le pays sera dans un très grave danger si le gouvernement chute ou démissionne. »

- Ali Hassan Khalil, ministre des Finances, au cours d'un meeting du mouvement Amal à Sarafand : « Je reconnais que le gouvernement a été incapable de procéder d'une manière responsable à une approche des dossiers (...). Cela augure d'une incapacité flagrante à interagir avec les dossiers. Il faut donc que nous soyons sincères avec les gens, pour leur dire que nous avons besoin d'insuffler le sens de la responsabilité pour régler chaque dossier. (...) En tant que mouvement Amal, nous avons proposé, en commission ministérielle, des visions responsables pour régler ces questions. Malheureusement, la logique des comptes personnels et du partage du gâteau politique a pris le dessus, ce qui a conduit notre chef, le président, à rejeter ces appels d'offres. Nous avions présenté un rapport soulignant que les montants que l'État, et donc le citoyen, aurait à payer sont plus importants que ce qu'ils peuvent supporter et que le service qu'ils obtiendront en contrepartie. Cela nous pousse à dire qu'il est du droit des gens de s'exprimer, de manifester et de lever la voix pour réclamer que leurs droits soient assurés (...). Il est également du droit de l'État que les manifestants respectent les lois et que nous protégions notre stabilité sécuritaire intérieure (...). Nous comprenons les revendications et la dynamique des gens, mais nous devons savoir comment rectifier le tir et quel type de discours utiliser. Nous devons déterminer réellement une feuille de route réformatrice permettant de prendre des mesures radicales pour résoudre les différents dossiers en suspens (...). Le président a fait une proposition (pour débloquer l'action institutionnelle) et nous souhaitons qu'elle donne des résultats et qu'elle ouvre un dialogue pour résoudre cet obstacle, lié à l'action du Conseil des ministres, et qui pourrait ouvrir la voie à une dynamique politique plus large que mènerait le président de la Chambre durant les prochains jours pour mettre fin à ce surplace négatif et renouer le contact entre les différentes composantes. (...) Il ne reculera devant rien pour trouver la formule adéquate et initier une nouvelle dynamique politique durant les prochains jours permettant de relancer l'action politique générale et de redynamiser les institutions. »

- Boutros Harb, ministre des Télécoms, à La Voix du Liban, 100.3 : « Les efforts continuent d'être déployés pour trouver une solution au boycott des séances du Conseil des ministres par les représentants du bloc du Changement et de la Réforme et du Hezbollah. Nous souhaitons que ces efforts aboutissent. Il n'est pas normal que les séances du Conseil des ministres soient soumises au...

commentaires (1)

".... Ce qui a conduit notre chef à béret à rejeter ces appels d'offres, et a faire 1 proposition pour débloquer l'action institutionnelle et ouvrir la voie à une dynamique politique plus large que mènerait notre béret pour mettre fin à ce surplace négatif ! Notre béret ne reculera devant rien pour initier une nouvelle dynamique politique permettant de redynamiser les institutions." ! Oui, très bien OK, mais lui, Hassine Äléh, qu'est-ce qu'il a fait ?

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

10 h 36, le 29 août 2015

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Commentaires (1)

  • ".... Ce qui a conduit notre chef à béret à rejeter ces appels d'offres, et a faire 1 proposition pour débloquer l'action institutionnelle et ouvrir la voie à une dynamique politique plus large que mènerait notre béret pour mettre fin à ce surplace négatif ! Notre béret ne reculera devant rien pour initier une nouvelle dynamique politique permettant de redynamiser les institutions." ! Oui, très bien OK, mais lui, Hassine Äléh, qu'est-ce qu'il a fait ?

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    10 h 36, le 29 août 2015

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